Le lait : de la colle, des hormones et du pus…

Merci à Le Nouveau Paradigme pour l’autorisation de publication.

Note aux lecteurs : En raison de la longueur du texte de départ et de contraintes d’espace, nous n’en avons reproduit qu’un extrait. Vous trouverez le texte complet à l’adresse suivante : www.2012un-nouveauparadigme.com/

Parlons un peu des bébés
De nombreux bébés sont maintenant violemment allergiques aux laits en poudre pour biberons et les pédiatres font changer de marque… et c’est pareil; le nourrisson se prend un bel eczéma que le médecin va s’appliquer à faire rentrer avec… un corticoïde qui va transformer l’eczéma en asthme (beaucoup plus grave) – et tout cela à partir d’un enfant qui était en parfaite santé et qui avait simplement le tort d’essayer d’éliminer le poison avec lequel on le nourrit. Mais alors, qu’en est-il des bébés qui réagissent aussi au lait du sein de leur mère? Peut–être leur faudrait-il changer de mère (je veux dire de nourrice); car rappelez-vous que tout ce que la mère consomme passe dans le sein. Si la mère consomme des épinards, son lait est aux épinards, des carottes, du lait à la carotte, et du lait de vache (pourri)…! À noter que j’ai vu des bébés allergiques à tout produit laitier quel qu’il soit et qui ont parfaitement poussé sans problèmes avec des purées de légumes.

Les vaches à lait sont des vaches malades!
La multinationale Monsanto a produit une hormone de croissance destinée à augmenter la production de lait. Grâce à ses bénéfices colossaux, elle a pu soudoyer les autorités sanitaires et politiques pour qu’elles laissent mettre sur le marché ce produit sans avoir évalué sa toxicité. Les éleveurs auxquels on a imposé cette hormone de croissance se sont retrouvés avec des vaches qui produisaient 40 à 50 litres de lait par jour (auparavant, elles en donnaient au plus 14 litres). Il a fallu traficoter génétiquement un nouveau type de vaches, les Holstein, avec les pattes plus longues afin qu’elles ne se marchent pas sur les pis; les pauvres bêtes ne pourraient pas suivre sur le plan alimentaire, même en broutant 24 h sur 24 si l’on ne les complémentait pas avec des farines. À savoir qu’une vache normale vit 25 à 30 ans, et celles-là sont usées à la corde en…..7 à 8 ans.

Par ailleurs ces vaches sont sujettes­ à de nombreuses infections, si bien que l’on a dû utiliser des antibiotiques en quantité. Les taux d’antibiotiques dans le lait sont 100 fois plus élevés qu’il y a 25 ans et les autorités sanitaires se sont contentées d’élever les normes limi­tes autorisées. Aux USA, sur les 23 000 tonnes d’antibiotiques fabriqués chaque année, près de la moitié est utilisée pour le bétail. Il est hallucinant de constater qu’aux USA 80 % des vaches souffrent de leucémie. Alors, comment le lait de ces vaches peut-il être sans danger pour l’homme?

Le cancer du lait
Quand les études scientifiques ont montré que cette hormone de croissance stimulait chez l’homme le développement de cancers lymphatiques, l’association des médecins américains, l’O.M.S et les autorités sanitaires ont préféré fermer les yeux car les intérêts économiques passent avant la santé des populations. Depuis 1994, année où l’hormone de croissance obtenue par génie génétique fut autorisée pour stimuler la production des vaches laitières, une véritable épidémie de cancers lymphatiques a frappé les USA. Ce type de cancer, rare jusqu’alors, tue plus que les cancers du sein, de la prostate, du pancréas et des organes génitaux réunis. Les citoyens améri­cains sont devenus, sans le savoir, des cobayes qui absorbent de l’hormone de croissance à travers les produits laitiers qu’ils consomment.

Hormones de croissance, on l’a échappé belle!
Pourtant l’Europe a résisté et, malgré la pression des multinationales américaines (notamment le dossier fourni par Monsanto qui ne comptait pas moins de 23 000 pages) la commission du Marché Commun qui a étudié la question a refusé l’utilisation de l’hormone de croissance car elle estimait que les preuves de son innocuité n’étaient pas suffisantes. Avec la passion d’un détective, Cohen, « l’homme anti-­lait », révèle ce qui nous attendait sinon : « Alors qu’aux USA, du temps de nos parents, une femme sur 20 était atteinte de cancer du sein, aujourd’hui une femme sur 3 est touchée ! Quand on pense aux milliers d’enfants souffrant de leucémie et traités par des chimiothérapies hypertoxiques, on a le cœur brisé devant tant de mépris de la santé publique.

Tout bien pesé, la différence n’est pas si notable avec la France, une partie de ce lait aux hormones serait-il arrivé chez nous par l’intermédiaire de produits transformés ?

Nota : En cas de cancer, la première chose à supprimer TOTALEMENT, ce sont les produits laitiers, puisqu’ils sont bourrés d’hormones de croissance. Espérer une guérison sans cette suppression draconienne est une utopie qui semble ignorée de la plupart des médecins.

Tous collés à la caséine!
Près de 80 % des protéines du lait et du fromage sont constituées de caséine, qui est une puissante colle, celle qui fait notamment tenir les étiquettes sur les bouteilles de bière. Essayez d’arracher une de ces étiquettes et vous verrez la force de cette colle! On utilise aussi la caséine pour coller les meubles, et nos grands parents s’en servaient pour coller les papiers peints! Pensez à ce que cette colle peut provoquer dans votre organisme. Comme la caséine est une protéine étrangère, le corps crée des anticorps pour la neutraliser. Cette réaction antigène/anticorps fait sécréter de l’histamine et engendre une intense production de mucus, voire de pus, et surtout d’inflammations (sinusites otites, bronchites, maladies en ite….). De nombreux chercheurs pensent que la caséine est la principale substance responsable des inflammations articulaires que l’on voit dans les arthrites rhumatoïdes. Cela expliquerait pourquoi la suppression de tout produit laitier permet la plupart du temps le soulagement rapide de ces affections. Depuis des années, je préconise, pour nettoyer les colloïdes laitiers du système lymphatique, du CALCAIRE DE VERSAILLES 8 DH (en pharmacie) – 1 ampoule au lever.

Et le calcium? Une croyance bien enracinée!
Le calcium du lait se métabolise mal chez les adultes, aussi a-t-il tendance à se déposer d’une façon désordonnée un peu n’importe où dans les coins tranquilles, plutôt que là où il faut – c’est ainsi que se développent des exostoses, des becs de perroquet, et même la maladie de Paget où le calcium de la colonne vertébrale migre vers l’aorte par un phénomène électrolytique.

Alors où donc trouver le précieux calcium? Mais dans tous les légumes!!! Il y en a partout!

Matière à réflexion

Du toucher corporel au toucher émotionnel
Ne plus être touché corporellement, c’est aussi peut-être ne plus être touché émotionnellement ou réduire considérablement l’aspect émotionnel­/sentiment […] La proximité physique entraîne donc des émotions, sentiments, états d’être. L’expression de nos émo­tions et celles des autres est un sujet délicat, puisque notre éducation, notre milieu social et culturel, nous ont «appris» à ne pas les laisser trop transparaître… À dose homéo­pathique s’il vous plait! Juste ce qu’il faut quoi! […] Pourtant qu’est-ce qui rend une relation particulière si ce n’est de pouvoir être un peu plus soi avec cette personne-là, avec moins de contrôle, moins de « retenue », moins de masque social!

Quel plaisir de pouvoir pleurer sur l’épaule d’un ami ou de se prendre dans les bras, d’oser dire qu’on l’apprécie et qu’on l’aime, qu’il compte vraiment dans notre vie. Vivre sous anesthésie émotionnelle, ne fut-ce qu’en être coupé partiellement réduit considérablement le champ de vie, le sentiment d’exister!

Source : Extrait de l’article électro­nique : Vivre sous anesthésie émotionnelle, Marie-Ange Viala-Foulon

De nombreux Canadiens souffrent d’un manque de contacts physiques
Selon une étude menée par la compagnie Vaseline et Léger Marketing, il y a quelque temps, de nombreux Canadiens souffrent d’un manque de contacts physiques. Près du tiers des personnes affligées par cette carence déclarent même ne toucher personne durant une journée, et ce, de façon régulière. L’étude nous apprend également que les Canadiens aimeraient voir le toucher occuper une plus grande place dans leur vie… Et pour cause! […] Les bénéfices du toucher sont nombreux!

Source : Extrait de l’article électronique : L’importance du toucher, Louise Moreau

Pour s’épanouir, un enfant a besoin d’être touché, caressé et massé (Frédérick Leboyer)/

Gynécologue et obstétricien français, il a donné son nom à l’accouchement doux connu sous le nom de méthode Leboyer (naissance sans violence). Deux vidéos à visionner absolument. Écrivez dans Google :
– Naissance sans violence (YouTube). Choisissez la vidéo en français, dont la durée est de 4 h.
– Frederick Leboyer naissance (YouTube). Choisissez la vidéo en français dont la durée est de 21 h 10.

L’eczéma : un conflit de séparation serait à l’origine de la patho­logie
Le décodage biologique des maladies propose d’aborder les maladies d’un point de vue émotionnel. Par exemple, dans le cas de l’eczéma, c’est un conflit de séparation qui est à l’origine de la pathologie. La localisation d’un eczéma est loin d’être anodine, et le cerveau ne « s’amuse » pas à déclencher un eczéma à tel ou tel endroit pour rien ou au hasard. Comprendre la localisation d’un eczéma est simple. C’est la zone qui était en contact avec la chose ou la personne et qui ne l’est plus qui va réagir.

Décodage biologique des maladies : l’encyclopédie des correspondances symptômes-émotions, Christian Flèche, Éditions Le Souffle d’Or