Choisir le bonheur

La vie est mouvement. L’absence de mouvement, c’est la mort.

Pour être heureux, il est important de se sentir en mouvement et d’être en mouvement.

Mouvement physique d’abord. À tous mes clients dépressifs, je donne la recommandation suivante : aller marcher dans la nature à tous les jours, ne serait-ce qu’un quart d’heure à la fois. Chaque fois que nous marchons, notre système produit des endorphines. Les endorphines sont un euphorisant naturel, elles nous mettent de bonne humeur. Des recherches récentes ont démontré qu’une heure de marche était l’équivalent d’une Prozac (pilule antidépressive).

Se mettre en marche physiquement aide aussi à se mettre en marche psychologiquement. Si le mouvement physique aide à notre bonheur, le mouvement psychologique y aide encore plus. La créativité nous rend heureux, nous fait sentir vivant. L’origine du mot créativité (creare vitæ : créer de la vie) le dit. La créativité, c’est le contraire de la rigidité, de l’absence de mouvement. La flexibilité, c’est la capacité de s’adapter aux événements, d’être souple et cette flexibilité nous aide beaucoup plus à être heureux que le fait de tenir rigidement à nos idées. Je me souviens d’une cliente, une dame de soixante ans, malheureuse parce que sa fille unique venait de divorcer, ce qui était contre ses principes. Elle ne parlait plus à sa fille, ni par le fait même, à son unique petite-fille qu’elle aimait beaucoup. J’essayais de la persuader qu’elle avait le droit de tenir à ses opinions, mais qu’elle devait aussi permettre aux autres de vivre de façon différente. Combien souvent nous refusons d’être souple et d’accepter les autres tels qu’ils sont. Je disais à cette dame : « Vous avez le choix entre avoir raison et être heureuse. Lequel est le plus important? ».

Le mouvement psychologique est parallèle au mouvement physique. Lorsque nous sommes rigides dans notre pensée, nous devenons souvent rigides dans notre corps et lorsque nous maintenons la souplesse de notre corps, il nous est plus facile d’avoir l’esprit ouvert.

Sur le plan psychologique, bouger, c’est devenir actif pour obtenir ce que je veux. Si je me sens seul, je peux devenir une victime passive et me dire que personne ne me téléphone, que personne ne m’aime, que personne ne s’occupe de moi. Je peux aussi devenir pro-active pour atteindre mon but, prendre le téléphone et appeler quelqu’un ou me joindre à un groupe de bénévolat pour aider quelqu’un d’autre qui est seul avec son problème. L’activité psychologique est, elle aussi, une grande source de bonheur. Dès que j’entreprends une action pour résoudre un problème, je me sens plus calme et j’ai moins tendance à me voir dépassé par le problème. La formule magique « De combien de façons puis-je…? » a bien souvent aidé mes étudiants et mes clients à se mettre en mouvement. Il y a bien vingt ans, nous avions décidé, mon conjoint, mes enfants et moi, de partir visiter Walt Disney l’hiver suivant. Un ami de mon fils, alors âgé de 12 ans, qui avait entendu parler du projet me dit : « J’aimerais bien y aller! ». Je lui réponds : « Écoute, je veux bien t’amener, mais ça va te coûter sept cents dollars ». Le petit garçon, plein d’espoir, partit consulter sa maman. Il faisait partie d’une famille monoparentale pas très riche. Le lendemain, il revint me voir découragé : «Ma mère fait dire que l’argent ça ne pousse pas dans les arbres! ». Je lui réponds : « Ta mère a raison, Toi, est-ce que tu as envie de venir? Oui, alors pose-toi la question : De combien de façons puis-je ramasser l’argent pour aller faire ce voyage? »

Nous nous sommes assis, mon fils, son ami et moi et nous avons fait un brain-storming, une liste de plus de cent façons dont ils pourraient ramasser de l’argent dans la prochaine année. Cadeaux de Noël, cadeaux de fête, gazon, récolte de bouteilles, vente de cartes créées par eux sur l’ordinateur, toute la parenté alertée, aucun effort ne fut négligé. Et c’est un petit garçon tout heureux et fier de lui-même muni de son argent que sa maman est venue reconduire à l’aéroport. Ce petit garçon est maintenant ingénieur et quand il a voulu aller à l’université, il s’est tout simplement demandé : « De combien de façons puis-je trouver de l’argent pour faire les études que je veux? ».

Bouger, c’est cesser d’être victime de son environnement, de son éducation, de ses habitudes, c’est se mettre en marche pour créer son bonheur. Et, comme je le répète si souvent, le bonheur n’est pas au bout du chemin, le bonheur, c’est aussi d’être en cheminement. Bouger sur le plan physique, bouger, être en action sur le plan psychologique, bouger aussi sur le plan spirituel. Bouger sur le plan spirituel, c’est savoir que je suis sur la terre en apprentissage. En apprentissage pour devenir une personne plus aimante, plus compatissante, plus sereine, plus joyeuse.

Sur le plan spirituel, ce n’est plus la vitesse du mouvement qui compte, c’est la direction, le sens. L’action sans réflexion sur la direction où vous voulez aller est perte de temps. Prenez le temps d’être conscient. Même sur le plan physique, si on veut aller trop vite, on se blesse et on prend du retard sur son entraînement. Il ne s’agit pas d’aller vite, mais d’aller dans la bonne direction. La direction de l’amour et de la paix. Le mouvement spirituel est une quête de sens, non pas le sens que la vie pourrait voir, mais le sens que nous voulons donner à notre vie, l’accomplissement que nous voulons atteindre, la joie et le bonheur que nous pouvons créer pour nous et pour les autres.

Pour être pleinement satisfaisant, le mouvement doit avoir tout son sens, tout son sens d’accomplissement et de réalisation de soi. Sur tous les plans, la stagnation, l’immobilisme est une source de maladies et de problèmes, le mouvement est une source de joie, de bien-être, de santé et de bonheur.

Petits conseils :

  • Marchez dans la nature, ne serait-ce que cinq minutes par jour.
  • Bougez autant que votre santé vous le permet.
  • Contemplez le mouvement de la vie : les feuilles qui bougent au vent, les oiseaux, les vagues, sentez que vous aussi vous participez à ce mouvement.
  • Acceptez la phase où vous en êtes maintenant dans le cycle de la vie et le genre d’action qui correspond à cette phase.
  • Prenez le temps de donner un sens, une direction à votre action, elle en deviendra plus joyeuse, vous aurez un but.
  • Lorsque vous vous sentez immobilisés, ouvrez les options en vous demandant « De combien de façons puis-je…? » plutôt que de rester paralysés par les obstacles. Là où une porte se ferme parfois s’ouvre une fenêtre.
  • Et souvenez-vous : une porte qu’on ouvre souvent ne rouille pas.

« Ch’te dit qu’à soir dans mon p’tit cœur, y fait frette » — Dédé

Bien que le changement d’heure ait quelque peu perturbé notre rythme biologique, notre sommeil et notre humeur, les journées grises à venir auront certains effets plus prolongés en raison des courtes journées de soleil durant les mois de novembre, décembre et janvier. Même si nous serons tous un peu affectés par le manque de luminosité et de soleil, certains deviendront complètement dysfonctionnels.

La dépression saisonnière
Elle est catégorisée comme un trouble affectif lié au manque de lumière naturelle, occasionnant une diminution de la synthèse de la vitamine D et une sérieuse baisse d’énergie mentale et de motivation à être actif. Bien que les mécanismes exacts de la dépression saisonnière soient encore mal compris, l’état de déprime serait dû à un déséquilibre biochimique dans le cerveau impliquant la mélatonine. Hormone du sommeil, celle-ci joue un rôle primordial dans la régulation du rythme biologique (cycle circadien) et de l’humeur. En l’absence de lumière, le corps augmente la production de mélatonine, déclenchant un état de fatigue et menant au sommeil. La présence de la mélatonine réduit considérablement la production d’endorphines et de sérotonine. Le manque de soleil, lui, réduit la synthèse de la vitamine D.

Les endorphines ont plusieurs effets bénéfiques : euphorique, anxiolytique (diminue stress et anxiété), antalgique (antidouleur) et antifatigue. La sérotonine, quant à elle, est notre antidépresseur naturel, tandis que la vitamine D favorise l’absorption du calcium et du phosphore. Elle devient une alliée importante dans la minéralisation osseuse et articulaire tout en favorisant la tonicité musculaire. Même s’il est difficile d’évaluer les besoins précis, il suffirait de 10 à­ 15 minutes d’exposition au soleil deux ou trois fois par semaine pour combler entre 80 et 90 % des besoins en vitamine D d’un adulte en santé. Cette vitamine est synthétisée dans l’organisme humain sous l’action du rayonnement UV du soleil. Ses principales sources alimentaires sont les produits laitiers, les jaunes d’œufs et les poissons gras tels que le thon et le saumon.

Afin de contrer cet état et diminuer les symptômes de la dépression saisonnière, nous devons trouver des astuces pour augmenter la présence d’endorphines et de sérotonine ainsi que l’apport en vitamine D et sa synthèse. En voici quelques-unes :

Place aux hormones du bonheur
Nous avons tous déjà ressenti une poussée d’énergie et des picotements à la suite d’un effort physique. Dites bonjour aux hormones du bonheur! Parmi ses multiples bienfaits, l’activité physique occasionne une augmentation de la sécrétion d’endorphines et de sérotonine. Les effets peuvent durer jusqu’à six heures post-exercice. Privilégiez les exercices cardiovasculaires en endu­rance (marche, marche nordique, randonnée pédestre, ski de fond, etc.). S’ajouterons aux effets psycho­logiques, sans frais supplémentaires, des bienfaits cardiovasculaires, métaboliques et une diminution des tensions musculaires et articulaires. De plus, vous pourrez ainsi limiter le nombre de kilos qui voudront s’accumuler en prévision du temps froid. Même si les effets des endorphines augmentent avec l’intensité et la durée des activités physiques ou sportives, il est important de commencer doucement et d’augmenter progressivement selon notre forme physique et nos réalités de santé.

Allez jouer dehors
Quand ma mère en avait assez de nous voir grimper dans les rideaux, c’est alors que résonnait ma phrase préférée : « Allez jouer dehors! ». Puisque les effets de la vitamine D ne résultent pas uniquement de son apport par la nourriture, mais aussi de l’action du soleil, la meilleure façon de contrebalancer le manque de lumière et de soleil serait donc… d’aller jouer dehors. Cette exposition à la lumière naturelle déclenchera une augmentation des endorphines et redonnera vigueur et énergie à nos journées, sans oublier une immense diminution du stress de ma mère. Ouvrez toute grande la porte, on s’en va jouer dehors. Bonne santé!
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« La marche est le meilleur remède pour l’homme. » — Hippocrate

Cette phrase, prononcée par le père de la médecine il y a près de 2 500 ans, continue de nos jours à s’avérer d’une vérité incontestable. La marche est l’activité physique la plus naturelle pour l’être humain, et ce, tout au long de son existence. Les avancées scientifiques ont longtemps cherché à nous proposer une multitude de moyens d’améliorer ou de maintenir notre condition physique ou mentale, mais aucun­ ne parvient à influencer notre santé sur autant de plans différents. Acces­sible à tous, la pratique de la marche nécessite peu de matériel, et le degré d’effort peut facilement être ajusté en fonction de notre âge ou de notre état de santé.

Les effets cardiovasculaires
Les effets sur les systèmes cardiovasculaire et pulmonaire sont très bien documentés. L’utilisation répétitive du muscle cardiaque améliore sa capacité de contraction, rendant son travail plus efficace, ce qui se traduit par une augmentation du débit sanguin et une diminution de la fréquence cardiaque. L’augmentation du rythme circulatoire aura pour effet d’augmenter l’apport sanguin vers les organes et tissus en état inflammatoire afin de diminuer la douleur et d’accélérer le processus de guérison ou de gestion de la douleur chronique.

En sollicitant de façon contrôlée le système pulmonaire, on fait dimi­nuer l’apparition de maladies pulmonaires et augmenter la capacité de fournir un plus grand effort physique avec moins d’essoufflement.

Les effets musculaires
La sollicitation du système musculaire de façon soutenue favorise l’amélioration de l’endurance des muscles locomoteurs, ce qui nous permettra de continuer plus longtemps à nous déplacer lorsque nous avancerons en âge. Une meilleure musculature influera non seulement sur la force, mais aussi sur l’équilibre afin de prévenir les chutes. Des muscles plus en santé utilisent plus efficacement le glucose, réduisant de 58 % le risque de diabète.

Les effets psychologiques
Selon plusieurs études, une marche d’intensité moyenne d’une durée de 30 minutes cinq fois par semaine ferait diminuer les risques de dépression de 47 %, d’anxiété de 48 % et d’Alzheimer de 50 % et constitue le meilleur remède contre la fatigue et le stress. On attribue ces effets à l’augmentation de l’apport en oxygène vers le cerveau et aussi au sentiment de détente que produit la sécrétion d’endorphines après un effort physique.

Les effets sur le système ostéo-articulaire
Avec le temps, l’usure du cartilage des articulations cause de l’inflammation et de la douleur. La marche fait augmenter la circulation sanguine vers les articulations, ce qui en améliore la lubrification. Le stress contrôlé qui est exercé sur les os fait augmenter la densité osseuse, ce qui retarde l’apparition de l’ostéoporose. Grâce à la marche, la stabilité, la mobilité et le glissement efficace des articulations sont préservés le plus longtemps possible.
kinesiologie

 

L’exercice en nature et ses nombreux bienfaits

En janvier 1995, par un bel après-midi froid et ensoleillé, j’ai lacé mes souliers de course et débuté mon parcours habituel autour du lac Mud dans le village de Britannia. L’air frisquet de l’hiver, la vue des mésanges à tête noire sur le chemin, les défis qu’offrait le terrain, la souplesse de mon corps et mon état d’esprit extrê­mement affûté – tous ces éléments provoquèrent en moi des larmes de joie et de gratitude. Larmes de reconnaissance pour tous les cadeaux incroyables que je possède – l’avantage d’être en santé, le don du savoir et celui d’être totalement connectée au monde naturel. Je n’échange­rais pas ces pouvoirs pour tout l’or du monde.

C’est cet état de conscience que l’auteur renommé, Mihaly Csikszen­t­mihalyi, appelle le « FLOW ». Tous, nous expérimentons ce « flow » de temps à autre et nous en reconnaissons les caractéristiques : les gens se sentent vigoureux, alertes, effectuent leurs mouvements sans effort et sont remplis d’assurance, au sommet de leurs habiletés.

En fait, cet état plaisant de « flow » n’est pas le fruit du hasard, car on peut le gérer en se créant des défis – des défis ni trop simples ni trop difficiles par rapport à nos habiletés. Avec ces objectifs en tête, nous apprenons à programmer cette information dans notre conscience et, de ce fait, nous améliorons la qualité de nos vies.

Debout sur un rocher, pendant que je contem­plais le paysage, je pensais à l’apport essen­tiel des sports de plein air et de l’exercice pour une vie sans douleur et sans maladies – une vie agrémentée de ces expériences de « flow ». Comment remercier Mère Nature? Comment pourrais-je enseigner aux gens les bénéfices sur la santé de l’exercice aérobique en plein air comme le vélo, la course, l’esca­lade, le patinage en ligne, le ski de fond, le patinage de vitesse et la raquette? Le concept Natureobics™ est né.

La perspective transpersonnelle
L’étude des multiples états de conscience, incluant les états altérés, le yoga, les rêves et la contemplation. Selon cette théorie, nous croyons que la nature est l’ultime école pour expérimenter la connaissance de soi et devient l’endroit par excellence, dans nos existences folles et débalancées, où retrouver un sens de « plénitude » et de « sainteté ». Ici, les sons de la nature remplacent le rythme up tempo d’une classe typique d’aérobie. Le corps est en mouvement mais l’esprit est calme. J. Krishnamurti a écrit : « Être en communion avec vous-mêmes veut dire le parfait silence, alors l’esprit peut totalement être silencieusement en communion avec lui-même. Et à partir de là, l’action est entière. »

Gérer son stress
Nous connaissons tous les effets négatifs du stress sur notre système immunitaire. Les études nous démontrent à répétition les effets positifs de l’exercice aérobique, non seulement dans la réduction du stress, mais aussi dans le renforcement du système immunitaire contre la maladie.

Bien-être physique, émotionnel et spirituel
Les recherches démontrent que l’exercice vigoureux peut augmenter de cinq fois les niveaux d’endorphine créant un « high » naturel chez certains individus, un état ressemblant à de l’euphorie. Nous avons tous entendu parler du « high du coureur »,­ de l’épanouis­sement du nageur, du « bonheur du marcheur » et de la « félicité du cycliste ». Ne serait-ce pas extraordinaire de ressentir même une parcelle de tout ça?

En prenant en charge notre bien-être physique, émotionnel et spirituel, nous croirons en nos pouvoirs de créer une vie, celle dont nous avons tou­jours rêvé pour nous-mêmes. Il faut autant de cou­rage pour créer sa propre vie que de décider de prendre en charge sa propre santé.

Énergie et Vitalité

Qu’est-ce que vous faites pour relaxer lorsque vous vous sentez stressé? Et que faites-vous pour fouetter votre énergie lorsque vous vous sentez fatigué?

Certains diront qu’ils prennent une journée de congé, d’autres qu’ils font du sport, se font masser, vont au spa… Des choses qui aident et prennent du temps!

Mais avez-vous pensé à rire dans ces moments? Simplement rire!
Car lorsque nous rions, nous nous sentons mieux! Nous sommes plus détendus et plus énergiques. Malheureusement, nous nous permettons de moins en moins de rire.

C’est suite à cette constatation qu’un médecin Indien, le Dr Madan Kataria, a imaginé une forme d’exercices pour ajouter du rire dans nos vies et ainsi faire travailler les muscles engagés dans l’action du rire. Nul besoin d’entendre une bonne blague pour engager le corps en ce sens! Le rire provoqué « mécaniquement » par l’activation des muscles faciaux et abdominaux met à contribution le système cardiorespiratoire et produit ainsi un « massage » des organes internes. Résultat? Une sécrétion d’endorphine – l’hormone du plaisir – qui génère à son tour l’émotion du rire. L’action entraîne l’émotion!

Faites ce petit test très simple. Commencez par sourire. Puis, riez doucement. Même si vous faites semblant, faites-le pendant une minute. Comment vous sentez-vous? C’est instantané : ça « pétille ». Le cœur devient plus léger! Même s’il est simulé au départ, votre rire finira par être naturel. Vos muscles de rire seront réchauffés! Et vous contaminerez les gens autour de vous!

Rire est vraiment le meilleur outil pour combattre le stress, se remonter le moral, être plus créatif et productif, améliorer le climat, fouetter notre énergie. Essayez, vous verrez!

Voici 10 petits trucs simples et faciles pour mettre en pratique de bonnes habitudes de rire au quotidien.

•Commencez votre journée en riant – Souriez!

•Vous êtes seul(e) dans l’ascenseur? Profitez-en pour rire!

•Prenez une grande respiration en souriant et en étirant les bras vers le ciel.

•Riez silencieusement devant l’ordinateur – vous ne dérangerez personne et vous serez rapidement énergisé.

•Prenez un rendez-vous de rire avec quelqu’un et riez ensemble pendant quelques instants.

•Organisez des concours comiques au bureau (la meilleure blague, le rire le plus contagieux, le chapeau le plus drôle, la photo d’enfant la moins ressemblante…), planifiez des journées thématiques.

•Osez rire et ne craignez pas tant de ne pas être pris au sérieux!

À la maison, constituez une banque de DVD comiques, riez sous la douche, jouez avec vos enfants ou avec votre animal de compagnie, faites vos corvées en riant (laver la vaisselle, passer l’aspirateur ou le balai), lisez des bandes dessinées, regardez des émissions de télévision qui vous amusent, répertoriez des sites web comiques, fréquentez des gens qui vous font rire! Et SOURIEZ PLUS!

Observez comment vous vous sentez après un bon fou rire : ravigoté et pétillant d’énergie! Prêt à vivre avec joie les rencontres quotidiennes.