L’arbre de vie (visualisation)

Représente-toi comme une semence qui est mise en terre. Perçois cet aspect si fêle, si gracile te donnant à penser que la vie ne tient qu’à peu de choses. Tu es là, en terre, en attente de l’explosion de vie.

Que te faut-il pour germer? Que te faut-il en ton existence pour parvenir à cette éclosion? Quel état d’âme aimerais-tu retrouver pour te positionner totalement en ta vie?

Accepte de laisser venir à toi des images te permettant de germer ou de laisser germer des projets, tes projets et buts dans ta vie.

Vois la graine se fendre et perçois ce tendre germe qui monte vers la surface pour enfin voir la lumière du jour.

À chacune de tes inspirations, deviens conscient de ce germe si fragile qui grossit et qui prend forme tout naturellement en la vie. Parmi tant de semences en cette terre, tu es une semence qui a le droit de grandir et de croître librement.

Perçois ce germe que tu es devenant un arbrisseau. Des branches se forment, des bourgeons apparaissent prêts à éclore sous les chauds rayons d’un soleil majestueux. Prends le temps d’accueillir ce moment, ton moment d’expansion à la vie, ta vie.

D’un germe si petit et qui aurait pu sembler être sec et stérile, la vie a pris forme. De ce moment magique qu’est la vie, vois éclore les bourgeons qui deviennent des feuilles.

Vois la beauté et la force de la vie en toi. Tu parviens à laisser circuler tant de mouvements et d’énergie en toi. Tu as créé cette expansion qu’il ne te faut pas freiner.

L’arbre ne se pose pas la question à savoir s’il grandira! Il grandira, c’est une question de mouvements et d’un cycle naturel de la vie. L’arbre a sa place, toi également et tu détiens de plus la conscience.

Dans ce mouvement de conscience, vois ta raison d’être, tes droits à la vie et la naissance de ton bien-être.

Tu deviens un arbre majestueux, d’une force telle que seul l’ancrage de tes racines te permet de t’élever toujours plus haut. Quel moment merveilleux d’être là à contempler cette œuvre, le grand œuvre du Divin. Ressens cette vie, cette force et ces énergies de vie circulant en toi. Il y a tout en toi pour favoriser la réussite. Tu es devenu l’arbre de vie et c’était ton droit!

Tu existes et ceci est!

Visualise les chauds rayons du soleil qui te stimulent te donnant encore plus de force et de vitalité. Inspire lentement et ressens le calme en toi. Expire doucement, tout se relâche et tu contactes davantage de sérénité en cet instant.

Il y a toi, majestueux arbre de vie, le soleil, la vie, les oiseaux qui chantent la vie, ta vie!

Toi l’arbre, ancré solidement sur les rebords d’un lac, ainsi a commencé la vie et ainsi continue ta vie!

Ressens cette sérénité qui t’habite et qui rayonne de ton intérieur dirigé vers tout ton environnement. Jouis amplement de cet état d’âme. Tout est énergie en toi, sur toi et tout autour de toi.

Inspire… Expire…

C’est le cycle normal de la vie, mais cette fois, fais-le totalement consciemment.

Aujourd’hui, tu es devenu ce merveilleux arbre de vie, et c’est à toi que tu le dois.

Dis-toi tout simplement merci!

Photo 101 : Se permettre du noir et blanc

Nous nous souviendrons du temps gris et des pluies abondantes du printemps 2011. C’était parfois difficile pour le moral. Je me suis même aperçu que la température m’affectait. Période d’ermitage, d’isolement. Petite déprime. Manque de motivation. Et comme je clique à tous les jours de l’année en participant au Défi photo 365, les changements d’humeur sont « visuels » et bien perceptibles. Consciente de tout cela, tout en ayant confiance que le soleil allait bientôt revenir, je me suis amusée à trouver des symboliques photographiques. Période sombre, période de lumière. Explorons.

Univers gris

L’intérieur peint de pluie et de gris, mon œil n’avait plus envie de regarder la vie en couleur. Il ne la voyait plus en fait. Comme si mon cœur et mon doigt, normalement alignés, eux qui appuient sur le déclencheur de mon appareil, s’étaient éteints. Panne de courant. Tout était désaturé. C’est au jour 153 du Défi que j’ai décidé d’explorer visuellement ce que je vivais depuis quelques semaines. Ici, des fleurs, du muguet. Petites clochettes blanches, tiges et feuilles très vertes… Et si je les montrais en noir et blanc? Ce serait inattendu! Désaturées, transformées, question de refléter mon état. Une nouvelle expérience sensorielle? On perd certains sens, on ne les voit plus d’un même œil. Ici, on a presque l’impression qu’elles sentent moins bon. Leur parfum de miel s’est un peu dissipé. Leur douceur s’est durcie. Est-ce une illusion ou le ressentez-vous aussi? En noir et blanc, je regarde les courbes, la grâce. Les tiges alignées. L’unité. La cohésion du groupe. La douceur dans l’essence. Du muguet, oui, même en noir et blanc, pourquoi pas! L’idée symbolique d’associer le noir et blanc à une période plus sombre de sa vie.

L’obscurité aspire ou inspire?

On m’a dit que ce côté mélancolique et blasé, que l’on associe souvent aux artistes, est très « occidental », que c’est en quelque sorte « bon » ou « accepté » par la société que les artistes soient déprimés, qu’ils aient du vague à l’âme. « Les artistes eux, ils ont le droit. » Alors qu’en Orient, si j’ai bien compris, les peintres ou autres artistes seraient encouragés à présenter des œuvres réalisées dans un état d’esprit serein, méditatif et empreint de joie. Je ne connais pas la source de cette idéologie, alors je peux me tromper, mais ce concept est tout de même intéressant. On s’entend que du Baudelaire ou de la musique « country », ce n’est pas toujours ce qu’il y a de plus joyeux, ça peut être triste, dramatique, agonisant! On aime ou on déteste, mais c’est tout de même de l’art! Donc le fait de puiser dans la noirceur de notre être a toute une puissance d’innovation, une raison. C’est fascinant.

Qu’est-ce qui vous inspire le plus en création? Les moments joyeux ou les peines d’amour? Les regards d’enfants ou la sécheresse? Les mariages heureux ou le documentaire désolant? Peu importe. Vous avez raison. Affirmez-vous. La photographie est un médium d’expression exceptionnel qui nous permet de démontrer toutes ces facettes de la vie. Nos choix de scènes ne sont qu’un reflet de ce qui se passe à l’intérieur de nous ou de ce que nous cherchons à éviter à tout prix. Si je crois que la dépression est « mauvaise » en soi, je chercherai à montrer des scènes joyeuses dans mes photos. Si je crois que les scènes de bonheur extrême sont fausses, je me dirigerai vers le documentaire réaliste. Si je ne suis pas confortable avec mes propres émotions, j’irai peut-être explorer des sujets plus cérébraux. Ces exemples sont des extrêmes, mais l’idée est là. Qui suis-je comme photographe? Quel est l’état d’âme que je décide d’afficher? Apprendre à se connaître par les scènes que l’on se permet de prendre en photo. Le Défi 365 me fait réaliser que j’évite un bon nombre de sujets, je reste le plus souvent dans un connu confortable. Le beau, le gentil, le mignon… Mais si on est déprimé, il y a ce conflit intérieur qui n’a plus envie de montrer tout ce qui est positif tandis que d’autres, à l’inverse, se poussent à l’extrême pour y arriver quand même. Quel est votre mécanisme face à la noirceur et au manque d’inspiration? Et quand pour une raison ou une autre, les choses changent, le goût à la vie revient, que se passe-t-il…?

Et quand la couleur revient

Ah! Les étoiles dans les yeux sont revenues? Lumières de Noël! Bonbons! Sourires d’enfants! Champs de lavande! Chiots dans un panier! Bonjour!

Quand le soleil est revenu, à l’extérieur comme à l’intérieur, quel soulagement. Je n’avais plus assez de secondes dans une journée pour tout montrer ce que je voulais montrer!! Mes photos et mes textes reprenaient vie, enfin. Trop de choses, mes yeux étaient excités, stimulés, les couleurs soudainement tellement plus vives! Puis, je me suis souvenue de mon épisode d’obscurité. Avec du recul. J’ai eu de la gratitude. Mes yeux s’étaient reconnectés à mon cœur, puis à mon doigt qui clique, mais je pouvais maintenant comparer deux états, celui d’ombre, celui de lumière. Je pouvais maintenant apprécier.

« La nuit n’est qu’une partie du jour. » Traduction libre – Paulo Coelho

Pourquoi je vous dis tout ça? Je n’ai rien inventé avec ce concept, mais le message que j’ai envie de passer, est d’embrasser à part entière la personne que nous sommes. Avec nos hauts et nos bas. C’est le Yin et le Yang. Si tu ne connais pas la nuit, tu ne connais pas le jour. Le blanc existe par le noir. Le bon existe par le mal. Ce ne sont que des états de passage. Puis pourquoi ne pas explorer notre médium photo à travers toutes ces phases humaines et émotives.  Ça peut être tellement riche. Thérapeutique ! S’efforcer de prendre en photo ce que nous n’aimons pas voir. Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses. Il s’agit d’être conscient de ce que nous vivons, et d’apprécier où nous sommes dans notre démarche personnelle. Déprimé ou pas.

Et si notre propre noirceur était présente pour nous amener à mieux apprécier la lumière quand elle revient? Et si notre noirceur était une source incroyable de créativité et d’exploration? …Plusieurs gens s’interdisent de vivre de la noirceur, la nient, la repoussent, et surtout ils s’interdisent d’en parler aux autres de peur d’être jugés. Elle fait peur, c’est une mal aimée de notre société, mais elle est importante. Selon moi, la noirceur est un dénominateur commun chez les gens, elle nous rassemble. Elle est. Elle est là. Elle est là pour nous rappeler comment la vie est belle. Pour nous rappeler comment la vie, en couleur ou en noir et blanc, a de multiples facettes, ni meilleures, ni bonnes ou mauvaises. Pour voir ces facettes, nous devons avoir confiance!

« Nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont. Nous les voyons telles que nous sommes. » Traduction libre – The Green Children

Avoir confiance

Marcher dans le noir n’est pas agréable, mais il faut avoir confiance. Dans la seconde qui passe, je vois noir, mais j’ai la certitude que dans un futur rapproché, je verrai la couleur ou la lumière. Croire. S’autoriser. Se donner le droit. Se donner le droit de voir en noir et blanc de temps en temps. Être humain, dans toute sa splendeur, sa folie, son absurdité, sa confusion, son bien et son mal-être, c’est ça la vie! Remercier nos périodes d’ombre, pour mieux apprécier la couleur quand elle revient. Se permettre du noir et blanc…tout simplement!

Je vous souhaite un très bel été.

Tu es formidable!

Une simple observation dans mon entourage immédiat suffit à confirmer mon soupçon, les mots « faire carrière » et travailler « dans une carrière » se font écho. Pas surprenant que la voie vers la carrière idyllique soit si rocailleuse!

Car à force de se casser le caillou pour trouver son chemin, on devient plus vite un proche parent du casseur de roches qu’une sommité au métier florissant. Pour tirer cette énigme au clair, j’ouvre mon fidèle « Petit Robert » étymologique. Le terme « carrière » en ce qui a trait aux roches et minéraux serait « peut-être » d’origine latine. Et le mot anciennement épelé « quarrière » viendrait de « quadraria » en latin : Un carré, un lieu où l’on taille les pierres. Quant au vocable « carrière » comme tracé de vie et d’emploi de nos précieuses minutes terrestres, elle tire sa genèse directement d’une attelée de chevaux… On ne s’en sort pas, la fameuse course de chars à la Ben Hur de l’arène romaine, la « carriera » ou chemin de chars en latin, se confond encore et toujours avec notre cavalcade effrénée moderne. Car plus de deux mille ans plus tard, le charretier perd encore souvent une roue quand ce n’est pas sa vie pour gagner la course. Il me semble qu’on n’apprend pas très vite à fuir les endroits hauts en stress et durs sur le physique.

Et, qui parle de « char», pense aussi à cheval. Comme sur plusieurs générations, on a résumé sa fonction à performer à tout prix, sa forte constitution équine sauvage s’est fragilisée. En le promettant à remplir un seul but, courir toujours plus vite pour dépasser l’autre, sa galopade s’est vidée de sens. L’instinct de courir librement, crinière au vent, s’est égaré. Tout comme pour le cheval que l’on a domestiqué, en courant de plus en plus vite, les sphères restrictives de notre « carriera » dénudent la vie de sens et de liberté. En marchant un pas à la fois hors du sentier battu sans chercher à gagner la course, on évite l’ivresse d’une compétition au rythme infernal qui vise à arriver le premier. On est bien forcé de l’admettre, nos premières années ne sont pas très domestiquées. Votre mère vous le confirmera, l’entraînement doit commencer dès le berceau sinon c’est le chaos. Mais la vérité est que, même sous cet épais vernis d’apprentissages, notre nature verte et libre existe. Quand les notions basiques du monde naturel, où tout ce qui nait meurt en servant de nourriture à autrui, sont perdues dans les pics d’adrénaline d’une « carriera », la souffrance du déchirement se fait sentir. En revanche, nos ultimes priorités retrouvent rapidement leur juste place dans la nature.

Michel-Ange se plaisait à dire qu’il n’était pas sculpteur, mais qu’il « libérait » la forme du bloc de marbre. En reprenant l’analogie, on peut se libérer de la massepour ainsi oser inspirer l’autre, tout comme « La Piéta ». C’est ce que deux femmes venues me rencontrer récemment ont fait. Responsable pendant plus de vingt ans de grands marchés d’alimentation, Johanne Mercier a quitté la course folle pour se perdre dans la nature. Au terme d’une année, par hasard en marchant rue St-Denis à Montréal, la devanture verte de la boutique « Cœur en Art » l’interpelle. L’enseigne arbore un gros cœur, mais c’est à l’intérieur qu’elle a retrouvé l’étincelle du penchant inné de son propre cœur. La gestion promotionnelle. C’est le coup de foudre, le souffle d’inspiration qui lui manquait! Devant les multiples beautés énergisantes du concept de la « Vague de bonheur » mise en chantier par Paulina Ellis un an plus tôt, elle n’y tient plus. Entraîneur en conditionnement physique et personne-ressource en campagne de souscription pour les plus démunis, Paulina avait conçu pendant une sabbatique à Hawaii, l’ultime motivation d’épanouissement; l’Amour à la carte. Puisque motiver l’autre à faire le premier pas dans une nouvelle direction était un terrain connu, lorsqu’elle a senti l’appel de sa vision pour sa « vague de bonheur » elle a aussi fait le premier pas dans cette expression spirituelle d’elle-même.

L’union des forces de ces deux femmes multiplie les retombées de l’appel initial vers l’art d’amour visionnaire. Plusieurs témoignages de personnes ayant reçu une missive « vague de bonheur » en font foi. Recevoir une carte avec un cristal brillant en plein cœur d’une fleur éclatante jaune, sur laquelle est inscrit au recto « Tu es formidable » et au verso un message d’appréciation personnalisé de la main qui l’offre, ne laisse personne indifférent. Cette attestation de reconnaissance pour la différence que l’on fait dans l’existence de l’autre nous nourrit. Un véritable baume pour le cœur!

Comme la possibilité de galoper dans la nature existe même pour le cheval racé au pedigree imposant, nous avons tous l’opportunité de coexister avec nos semblables autrement qu’en compétition. Car, le simple geste de reconnaître la valeur de la contribution de chacun et chacune met l’essentiel de toute vie sur le même piédestal que l’œuvre magnifique de Michel-Ange. Le vulgaire bloc de marbre indifférencié de la carrière devient une création d’inspiration et de bonheur partagé dans les mains de l’artiste sensible à son appel. En jumelant la reconnaissance à l’accomplissement personnel, le champ s’élargit et le chemin étroit vers le gain s’estompe. L’être accomplit sa nature réelle. Le plaisir de courir sans peur hors des sentiers battus s’apprivoise un pas à la fois. Que l’on regarde du côté des conventions du marché boursier ou des lois universelles, l’« aide-toi et le Ciel t’aidera » fait sensiblement écho à « ton succès est aussi le mien ». Quant au « Tu es formidable », rien ne peut le remplacer pour la bonne raison qu’en « vagues de bonheur » successives, il change le monde!

Retrouver la conscience du vrai

Ressentir à travers les parois de sa propre maison l’ensemble de la vie; ressentir la continuité avec la nature. Pas de coupure avec la vibration vivante de toutes choses.

Telle devrait être chaque maison. S’y retrouver tout en étant avec le Tout.

Être chez soi, c’est être dans une ambiance qui nous permet d’entrer en soi. La nature est encore comme elle l’a toujours été, l’élément premier qui prédispose à la méditation, au recueillement.

Connexion première avec l’univers. Les matériaux tirés d’elle gardent ce flux vivant, cette connexion inaltérée.

Puisque ce qui respire est vivant, le bois est le matériau à privilégier; de par sa constitution, il préserve inaltéré l’échange énergétique.

Le « rempli » juste à le regarder aussi imprégnant que le feu de bois. Le bois est chaleureux… le bois réjouit.

Tables de vitre, armoire en mélamine, placoplâtre, recouvrement en vinyle et ciment, de par leur froideur, ne « rempliront » jamais l’âme de chaleur.

De par sa « nature » l’âme recherchera toujours la chaleur qui est en affinité avec son essence de vie. Chaleur du bois, chaleur du soleil, chaleur du feu, chaleur des échanges du cœur. L’humain a fondamentalement besoin de ce qui est « chaleureux ».

Une maison chaleureuse reflète l’âme des gens qui l’habitent.

Murs et meubles en bois, boiseries, céramiques aux couleurs chaudes, vitraux nobles, chandelier suspendu, âtre, chaise berçante au coin du feu, tous inspirent la sérénité.

Une maison dont toute la valeur revient à sa vibration harmonieuse avec la nature… un contact dont l’humain ne peut se passer… un contact des plus précieux.

Tout comme la couleur rose calme, apaise, chaque couleur émet une vibration particulière.

Conscient que nous sommes de leurs influences sur nous-même et notre environnement, puissions-nous apprendre à les utiliser tant pour des guérisons que pour notre évolution.

La vie déploie une infinité de couleurs qui égayent et réjouissent le cœur. Des fruits aux fleurs, des oiseaux aux animaux, leurs chatoiements aux mille facettes agrémentent notre vie sur terre.

Des diamants sur l’eau aux aurores boréales, couronnée par l’arc-en-ciel, la vie s’évertue à nous faire profiter de tout ce qu’elle dispense. Une invitation à célébrer toute beauté par son utilisation.

Que chacun y puise l’inspiration pour lui-même, l’inspiration pour sa maison.

Le véritable temple commence en nous-mêmes et par « irradiation » s’élargit à notre environnement.

Que chaque demeure devienne le temple de chacun… Une célébration de la vie!

Ce qui m’inspire

La nature. Encore. Toujours.

C’est mon contact avec le temps qui passe, qui change de couleur avec les saisons.

Créer, c’est une façon de me sentir en vie. C’est prendre le temps de regarder, de ressentir. De te montrer ce que j’ai vu. C’est faire ce que j’ai à faire. Donner ce que j’ai reçu. Créer, c’est prendre mon temps. C’est aussi rêver d’un espace. Dans mon appartement de banlieue, je rêve d’un atelier près d’un ruisseau.

Créer, c’est pour arriver à partager ce silence heureux et tranquille que je ressens devant les couleurs d’automne, les mésanges qui traversent l’hiver avec nous, les étincelles de lumière sur la neige, les trilles blancs qui ouvrent au printemps, le bruissement du ruisseau bordé de fougères, la brume sur un lac un matin d’été.

C’est comme dans les moments importants de la vie C’est grand et c’est simple. Et les superlatifs semblent inutiles.

En ce moment, je préfère les couleurs aux mots, Je prends ce que j’ai sous la main. Il me faut trouver des façons de créer plus abordables, à ma portée, à la portée de tous,

Des bouts de planches, des restants de peinture, et ce que la nature m’offre selon la saison. Imprimer les couleurs des feuilles avant qu’elles tombent, graver les feuilles cuivrées sur le sol de novembre, attendre que la neige se dépose sur les branches de pin pour saisir le contraste… croire aux pousses du printemps et à sa lumière, et oublier encore les teintes de l’été trop vite passé.

Dessiner, imprimer, coller, assembler, sculpter. Des couleurs et des formes.

Chercher, expérimenter. Être à l’écoute, attentif et disponible à ce qui vient, se faire confiance pour voir. Pour voir ce que ça va donner.

Continuer, simplement, pour le plaisir de créer, de voir l’image se former. Pour voir si tu verras ce que j’ai vu.

Qu’est-ce que ça vaut?
Qui peut le dire?

C’est un chemin parmi tant d’autres, ni mieux ni pire.

Marielle

Inspiration du moment

« Hier… Aujourd’hui… Demain… »

Hier est un tremplin, un vent qui nous pousse vers aujourd’hui, et demain l’avenir nous attire sans cesse vers quelque chose de mieux, nous rapproche de Dieu.

Mais à bien y penser, ce rapprochement, ce contact précieux se vit toujours aujourd’hui. Car hier et demain n’existent pas, il n’y a qu’aujourd’hui, l’instant présent, le seul qui est important, qui est tout le temps.

Donc, nos expériences passées ne valent plus? Et nos projets n’ont plus d’importance? Au contraire, nos expériences passées nous ont faits tels que nous sommes aujourd’hui. Elles sont donc l’élan qui nous a conduit jusqu’ici. Et demain, nos projets, nos buts, nos idéaux, nous invitent à poursuivre le chemin vers demain, un peu plus haut, un peu plus loin, guidés par cette lueur qu’on appelle le meilleur.

Mais c’est aujourd’hui que tout se vit. Ainsi reconnaissant pour mes hier, je suis rempli d’espoir sans cesse renouvelé en l’avenir. Et aujourd’hui, je vis, j’aime et je suis pleinement un enfant de la vie, de cette vie radieuse qui me pousse et qui m’attire au-delà de moi, vers quelque chose de plus grand, vers ce que je suis vraiment.

Dans cette lumière, je peux dire comme tant d’autres : « Heureux de mes hier, je vis chaque jour comme si c’était le dernier et je fais des plans pour l’éternité… Car au-delà de la matière – espace – temps, l’éternel est toujours présent. »

Soyez heureux MAINTENANT.

Auteur inconnu

Quelle est la valeur que j’accorde à ma sensibilité?

C’est la question que je me suis posée, un certain après-midi, assise dans un café où il m’arrive fréquemment d’être inspirée, alors que je sentais le besoin de m’arrêter pour faire la paix avec ma sensibilité. Voici spontanément quelle en fut l’inspiration.

Ma sensibilité joue vraisemblablement un grand rôle dans ma vie, si ce n’est le plus important. C’est elle qui m’amène à me découvrir et qui me fait savoir quel chemin emprunter. Je me sens plus lucide quand je vis en complicité avec ma sensibilité. Je perçois ce que l’œil ne voit pas et je deviens plus compatissante, plus présente, puisqu’elle m’invite à développer une écoute plus grande, plus profonde. C’est cette fine intelligence cachée qui fait que mon cœur est touché., Elle détient la force d’aimer, de jouir, de ressentir. Sans elle, je n’ai plus de raison d’être, je n’ai plus de motivation, ni même la sensation de vivre. Je deviens rigide et sérieuse. Quand je l’embrasse, elle m’aide à être plus flexible, à avoir de l’ouverture sur la vie, sur l’inconnu. Elle me sert de radar et attire à moi ce qui me ressemble, ce qui me fait vibrer. Je comprends que, quand je suis coupée de son influence, mon âme d’artiste perd contact avec l’essence de la vie. Devant le changement, si je me laisse diriger par la peur et le doute, elle perd tous ses sens et ne peut plus être à mon service. Évidemment, elle n’est plus. Quand je lui permets de m’assister dans l’incertitude et la fébrilité occasionnées par l’inconnu, elle m’aide à franchir la barrière de la mort à ce qui est révolu pour m’ouvrir au nouveau. Elle fait fondre les résistances et se déploie comme un oiseau prenant son envol, de ses ailes libres et gracieuses. C’est d’ailleurs ma sensibilité qui me donne accès à ma liberté. Elle a une telle puissance quand je m’ouvre à elle, quand je la regarde avec mes yeux de l’intérieur qui ne jugent pas. Elle devient faible quand je diminue sa vertu unique et que je l’abandonne par manque de courage à me voir à travers elle. Elle est pourtant d’une telle finesse quand elle exprime ma sensualité, avec sa grâce et sa spontanéité naturelle. Sa douceur est un baume sur mon cœur et caresse celui de tous ceux qui se laissent toucher par elle. Cette conscience subtile porte l’intelligence de voir la beauté en toute chose et de trouver un sens à chaque expérience. Elle possède les plus grandes qualités qui existent. Elle porte l’amour et le distribue en abondance. Elle trouve le mot magique qui fait vibrer. Elle a la délicatesse d’envelopper de se ailes un être peiné, atterré et blessé et de le réconforter par sa présence discrète. Elle n’a pas crainte de montrer sa grandeur, sa fraîcheur et sa transparence, parce qu’elle reconnaît la pureté qu’elle dégage. Ce qu’elle laisse sur son passage, c’est le rayonnement d’un feu sacré, de mille rayons de soleil transmettant une chaleur aimante, des sourires à faire fondre les plus énormes glaciers du monde et une vitalité à faire tomber les murs de la rigidité érigés par une fausse sécurité emprisonnante. Elle est douée pour redresser les morts vivants, réveiller les passions endormies et faire sortir de l’ombre les rêves le plus nobles. Elle cache ses secrets dans un silence bien gardé pour mieux les raconter en partage, voire même en mélodie. Sa voix, colorée par sa fragilité, son émerveillement, son exaltation, sa rigueur ou encore par sa tonalité délicieusement divine, livre, avec une intensité remarquable, une sincérité certaine. Bienheureuse celle qui a le privilège d’être reconnue et appréciée à sa juste valeur. Ce moment d’introspection me permet de prendre conscience que cette précieuse alliée qui m’habite depuis toujours est ma source d’inspiration et de joie de vivre et encore aujourd’hui, je me refuse à lui accorder la juste place qui lui revient. À vrai dire, je l’ai plus souvent qu’autrement regardée comme une intruse qui ne devrait pas avoir raison sur moi, À bien y réfléchir, il me semble que j’échappe à la réelle vie, alors qu’elle danse dans toute sa mouvance autour de moi. Où donc étais-je ces quarante-deux dernières années? Probablement dans mes pensées à chercher une astuce pour garder intacte ma sensibilité.

Inévitablement, cette inspiration soudaine laisse sa trace dans ma conscience. Après un tel moment de vérité, comment voudrais-je me dissocier de cette richesse incommensurable qui vit en moi?

Je suis une artiste qui a remarquablement su nager à contre-courant et résister à sortir de l’ombre pour préserver ses talents cachés derrière l’angoisse de vivre. En publiant cet écrit, je me donne le défi de m’engager envers moi-même à faire le grand saut de dire un vrai oui à ma vie. Et tout comme il m’a fait voir ma vérité en le rédigeant, si ce texte devient inspirant pour quelqu’un d’autre à dire oui à la vie, alors ce sera une bénédiction multipliée.

Les découvertes de Louise

Bonjour à tous!

C’est encore tout imbibée d’émerveillement, suite à la découverte d’un lieu magique ici même dans la région que je prends plaisir à vous faire connaître cet emplacement.

Pour bien vous évoquer l’atmosphère… une impression de bout du monde, le sentiment de découvrir la pureté des premiers âges, car on y retrouve une colonie, un peuple, qui émerge de l’eau, rassemblé à cet endroit comme pour s’y purifier ou faire des incantations sacrées au coucher/lever de soleil. Cette réalisation est l’œuvre de John Félice Ceprano. Le soir de ma première visite, c’est sous un ciel balayé par les nuances du coucher de soleil qui passaient du rose/orange au violet, miroitant sur l’eau d’un bleu turquoise, que je vis la silhouette de ces personnages évanescents.

Un véritable coup de cœur qui ne s’effacera jamais de ma mémoire. Et pour couronner le tout, des effets sonores venaient se rajouter à ce paysage d’une majestueuse beauté! Des voiliers d’outardes me passaient au-dessus de la tête et cela en si grand nombre que j’entendais le vrombissement de l’air qui se déplaçait aux battements de leurs ailes. Elles allaient se poser sur l’eau pour y passer la nuit, alors que les canards volaient en traversant leur trajectoire. Un véritable sanctuaire! Quel magnifique spectacle!

À l’horizon se découpait le profil d’une civilisation illuminée, nous rappelant qu’il existe des îlots de sérénité à deux pas de nos jungles de béton. En plus de vous décrire mon impression du lieu, je jugeais important de connaître la source motivatrice qui a donné naissance à cet endroit, réalisé de toutes pièces par cet artiste/sculpteur. Nous nous sommes donc rencontrés sur les lieux mêmes. Son inspiration première fut de rendre hommage aux peuples autochtones ainsi que de faire une révérence à Mère Nature pour son abondance et sa générosité. Il m’a aussi expliqué la symbolique de cette mise en scène minérale qu’il aimerait un jour interpréter dans une œuvre cinématographique.

Il s’agit donc de trois jardins aquatiques zen. Le premier sur la gauche représente les peuples autochtones, celui du centre, la découverte des Amériques par Christophe Colomb et la période de colonisation et, en arrière-plan la réalisation de la civilisation nord-américaine.

Les pierres sont cueillies sur place, les assemblages sont fusionnés avec une colle époxy. On croirait facilement que le tout s’est formé naturellement avec le temps et l’érosion.

Ai-je piqué votre curiosité? Si oui, pour vous y rendre, vous n’avez qu’à prendre la Promenade des Outaouais Ouest, ensuite la sortie « Remmic Rapids ». Je me devais de vous faire connaître ce lieu de ressourcement. Nous sommes réellement privilégiés d’habiter une région qui nous offre en si grand nombre de tels endroits.

La magie de créer

La vie d’aujourd’hui est plutôt trépidante. Plusieurs d’entre nous devons payer les factures, nettoyer la maison, participer à des réunions, garder les enfants, respecter des échéances, faire un peu de jogging, préparer le souper, etc. « OUF! »

C’est trop facile de se laisser prendre dans le tourbillon des petites et grandes choses qui peuvent nous amener à oublier que nous avons tous un être créateur qui sommeille en nous. Le vôtre, est-ce qu’il dort d’un sommeil profond? À quand remonte la dernière fois où vous avez créé? Les jours, les mois et les années passent et vous avez peut-être oublié la douce sensation qui est de s’assoir puis de s’arrêter pour pratiquer un loisir créatif, juste pour le plaisir de créer.

Avez-vous remarqué qu’il y a quelque chose de magique qui se produit lorsque l’on crée? Nous perdons la notion du temps. C’est peut-être pour cette raison que l’on associe souvent le mot loisir créatif au mot « passe-temps », nous ne voyons plus le temps passer, ce qui est plutôt rare de nos jours, car de plus en plus chaque minute est comptée… Ce mois-ci, que diriez-vous de reprendre contact avec votre être créateur? Je vous mets au défi de passer du temps de qualité avec lui et de vous offrir une petite escapade en sa compagnie. Vous verrez comment cela peut être libérateur de se laisser aller au gré du temps. En panne d’inspiration? Normal. À quand remonte votre dernier rendez-vous avec lui?

Écouter de la musique et se laisser inspirer par celle-ci pour peindre. Osez peindre une peinture abstraite, laissez aller vos gestes, choisissez des couleurs qui vous font vibrer.

Je vous entends déjà dire, mais je n’ai aucun talent en dessin ou en peinture; ce n’est pas important, je ne crois pas que votre but est de devenir un grand artiste? Le but de l’exercice est de prendre plaisir à créer, faites taire votre sens critique, ne soyez pas trop dur envers vous-même! Vous êtes en panne d’idées, vous ne savez pas par où commencer, vous persistez à dire que vous n’avez pas de talent, mais vous avez quand même un intérêt pour les arts visuels? Et bien, saviez-vous qu’il existe des revues, des ateliers et des sites web qui débordent d’idées créatives à faire avec des estampes. Ce sont des projets créatifs qui ne demandent aucun talent en particulier. Vous pourriez vous joindre à un groupe de créateurs et vous initier à l’art de l’estampage. De plus, il y a plusieurs avantages à créer en groupe par exemple : la motivation et le partage d’idées.

Je vous laisse donc sur ces mots : « Si nous avons chacun un objet et que nous les échangeons, nous avons chacun un objet. Si nous avons chacun une idée et que nous les échangeons, nous avons chacun deux idées ». (proverbe chinois que j’ai sur mon babillard à la maison) Alors, sur ce, je vous souhaite de beaux moments en compagnie de votre être créateur!

Pourquoi écouter la musique?

Les cinq sens du corps humain peuvent fonctionner d’une façon autonome pour assurer notre survie. Notre cerveau nous permet de décupler leur efficacité lorsque nous les utilisons consciemment. Il y a un monde de différences entre les actions de voir et de regarder, d’entendre et d’écouter, de sentir et de toucher.

Nos yeux sont des capteurs de lumière qui nous permettent de reconnaître l’espace que nous occupons et de nous déplacer dans celui-ci. Nous pouvons avoir les yeux grand ouverts en pleine lumière et ne rien voir. Jusqu’au moment où notre cerveau donne à nos yeux l’ordre de regarder. Alors le phénomène de la focalisation se produit. Nous sélectionnons ce que nous voulons voir et nous concentrons notre esprit sur un objet précis. Cela nous permet de l’évaluer, d’en voir tous les détails, de le toucher, de le déplacer et dans certains cas d’être ému, s’Il s’agit d’une œuvre d’art, d’une fleur ou d’un paysage magnifique.

Comme pour la vue, le sens de l’ouïe est constamment en fonction. Il contribue lui aussi à l’identification du monde qui nous entoure. Au cours de notre développement, nous avons enregistré des stimuli sonores qui nous font réagir. La parole, les bruits et les sons constituent la matière véhiculée au cerveau par le sens de l’ouïe. Une grande partie de la gestion de ces données est effectuée d’une façon autonome, ce qui correspond à l’action d’entendre. Comme l’ouïe est le principal élément de notre système de communication avec l’extérieur, ce senseur auditif fabuleux sert à la gestion de l’identification des bruits, de la signification des sons et des communications verbales.

L’humain possède le privilège d’accéder à un niveau supérieur, c’est-à-dire celui de l’écoute. Cette capacité d’écoute est ce qui nous permet de pénétrer dans le signifiant des sens et d’engendrer un échange d’informations au niveau de notre cerveau. Entendre des gens qui parlent ne possède pas la même signification que d’écouter une conversation. Lorsque nous entendons un bruit quelconque pour la première fois, notre sens de l’ouïe transmet à notre cerveau toutes les informations pertinentes à ce bruit. Chaque fois que nous entendons ce bruit, notre cerveau n’emmagasine plus les informations relatives à ce dernier, ce qui fait que lorsque l’événement sonore se répète, nous en venons à ne plus l’entendre. Les personnes qui résident tout près des aéroports finissent par ignorer le bruit des avions.

Par contre, lorsque nous écoutons, il se produit un échange d’informations beaucoup pus complexes. En plus des données acoustiques du son lui-même, notre mémoire l’associe à d’autres sons, nous fait voir des images, ressentir des émotions et notre esprit sculpte une forme d’énergie qui nous remplit émotivement et cognitivement.

Lorsqu’un musicien compose une musique, il a dans sa tête cette forme d’énergie. Son travail consiste à reproduire avec des notes, des accords, des rythmes et parfois des mots, cette révélation reçue d’ailleurs. Il doit être pour se faire en état d’écoute. Après avoir travaillé plusieurs heures, le compositeur produit un objet immatériel, qui peut nous demander que trois minutes d’attention. N’oubliez pas que cet objet immatériel n’existera que si quelqu’un l’écoute. Souvent pour vivre, la musique a besoin d’interprètes, c’est-à-dire qu’en plus de l’énergie inhérente à l’inspiration, s’ajoute dans une pièce musicale l’énergie du compositeur, des interprètes et si nous prenons la peine de l’écouter, la nôtre.

Une pièce musicale est comme un chakra avec ses multiples pétales d’énergie. Imaginez ce chakra avec au centre une énergie blanche qui tourbillonne vers l’intérieur, c’est l’inspiration, autour des tourbillons multicolores du compositeur et des interprètes qui pivotent vers l’extérieur et nous font cadeau de cette énergie comme une fleur irradiante. Lorsque vous écoutez, vous acceptez ce cadeau et l’énergie de cette fleur de lumière pénètre en vous par votre cinquième chakra (chakra de la gorge) et se fusionne à votre énergie. C’et pour cela que parfois certaines pièces musicales nous bouleversent tant. L’intensité de ce que nous ressentons lorsque nous écoutons attentivement une pièce musicale est tellement grande que nous ne pouvons rien faire d’autre.

Gâtez-vous, prenez ici et là cinq minutes pour écouter la musique que vous entendez, vous la trouverez beaucoup plus belle. Si par hasard vous constatez qu’elle est vraiment ennuyante, cessez de polluer votre énergie avec cette musique qui ne vaut pas la peine d’être écoutée. En effet, si vous ne recevez pas d’énergie en écoutant de la musique, votre cinquième chakra en libérera pour compenser ce vide et vous risquez de perdre votre équilibre énergétique, source de votre bien-être et de votre bonheur.

De la nuit jaillit la lumière, du silence jaillit la musique.