Amour de soi, égoïsme ou cadeau?

On parle beaucoup de l’amour de soi. On écrit amplement sur le sujet et on lit encore autant. Se choisir, s’aimer, prendre soin de soi, s’affirmer, suivre son cœur, sont des mots à la mode depuis déjà quelques années. Alors que dire de plus qui n’aurait pas encore été dit?

Je crois qu’on a encore besoin de parler, d’écrire et de lire sur l’amour de soi, car il est loin d’être intégré dans nos vies, concrètement, au quotidien. Nous lisons beaucoup, mais il manque la pratique, la pratique qui se reflète dans les actions posées d’instant en instant, jour après jour, lors des situations concrètes du moment présent.

Au fait, que signifie l’amour de soi au quotidien? Ce peut être s’accorder du temps, prendre un bon bain, faire une promenade ou s’offrir une journée de congé malgré un horaire chargé. Plus encore, l’amour de soi est une vision de la vie, une vision d’intégrité avec soi-même. Dire oui quand on pense oui… et non quand on pense non, aller au bout de soi-même, s’affirmer avec entièreté, tous ces aspects font partie de l’amour de soi.

Pour recevoir l’estime, l’approbation ou la reconnaissance des autres, que de fois nous disons ou faisons le contraire de ce que nous voulons. Un mal-être s’installe alors insidieusement et peu à peu nous nous éteignons. Certes pas du jour au lendemain, mais toujours un peu plus au fil des ans. Finalement, déprimé ou désabusé, nous perdons goût à la vie. Nous ne voyons plus de sens à notre existence, rien ne va plus.

Heureusement, une flamme de vie demeure inconditionnellement présente au fond de soi. Elle cherche inlassablement à poindre, à émerger, pour nous éclairer… voire nous enflammer!

Oser être qui l’on est vraiment, quel qu’en soit l’enjeu, est un défi de taille pour chacun d’entre nous. Vous êtes la seule personne avec qui vous vivrez toute votre vie, aussi bien faire en sorte de vivre en harmonie avec « elle » le plus tôt possible.

Facile à dire, me direz-vous! Mais comment faire?

Je vous propose de dire oui quand vous pensez oui et non quand c’est non. C’et simple et à la portée de tous, mais ô combien exigeant.

Pour ceux qui se connaissent assez pour savoir qu’ils disent presque immanquablement le contraire de ce qu’ils souhaitent avant même d’avoir pris le temps de réfléchir, apprenez simplement à ne jamais répondre ni oui ni non sur le coup d’une question.

Essayez, vous verrez. Répondez simplement que vous allez y penser et engagez-vous à donner une réponse dans un délai qui conviendra aux deux. Si vous vous rendez compte que vous avez parlé trop vite (encore une fois!), sachez que rien n’est coulé dans le béton. Vous pourrez rappeler la personne concernée et lui signifier que vous avez réagi trop rapidement et que vous souhaitez maintenant modifier vos dires.

Quand vous arriverez à cela, ce sera un pas énorme vers l’amour de soi. Si on vous traite d’égoïste, peut-être s’agit-il de personnes qui jalousent l’amour de soi que vous incarnez et qui n’osent se l’offrir. Sachez que par vos gestes et vos paroles vous leur offrez le magnifique cadeau de votre sérénité et de votre sincérité avec vous-même. Ça n’a pas de prix!

Regard nouveau sur votre santé globale

La santé globale prend forme dans la pensée et passe par la réflexion, la discipline et l’action, ce qui suppose que nous remettions en question tous nos comportements appris et que nous nous interrogions sur l’utilisation à faire des outils à notre disposition.

La réponse se trouve en chacun de nous parce que, lorsque le voile de l’ignorance se lève, la peur, le doute et le mal-être se dissipent, et c’est alors que la guérison commence.

Pour favoriser la santé globale, je propose une prise de conscience du microbiome humain. C’est le royaume des micro-organismes qui vous habitent, et plus particulièrement celui des microbes, amis et ennemis, qui peuplent votre intestin, siège du genre d’infections qui vous réveillent un bon matin avec un mal de tête, un bouton sur le menton, des selles d’une couleur « bizarre ». Voyons comment tout cela s’organise dès la naissance, et même avant.

Les bébés nés par voie naturelle sont colonisés par des lactobacilles et d’autres microbes indispensables provenant de la mère. Les bébés nés par césarienne sautent cette étape et sont colonisés par des bactéries hospitalières moins désirables. À cause du taux moins élevé de microbes protecteurs, les bébés nés par césarienne risquent davantage de souffrir d’asthme, d’allergies, de diabète de type 1 et d’autres maladies auto-immunes. Des études ont démontré que ces bébés présentent 50 fois plus de risques de souffrir d’obésité. Le fait d’être né par césarienne et d’avoir reçu des traitements aux antibiotiques pendant la petite enfance décuple les risques de devenir obèse et malade plus tard dans la vie.

Jetons un regard nouveau sur notre monde! Ouvrons les yeux de notre conscience, retirons le masque qui dissimule notre responsabilité individuelle à l’égard de notre santé globale et portons une attention plus soutenue aux effets délétères des pratiques modernes en médecine et en agriculture. Au moment où ces pratiques ont été adoptées, personne ne pouvait prévoir à quel point elles allaient affecter notre monde intérieur, notre « microbiome ».­

L’objectif n’est pas de ressembler à l’image que projette la photo d’une célébrité, mais plutôt d’être en santé, ici et maintenant, sans passé. Nous pouvons nous guérir du « mal-a-dit » sans raisons historiques ou hystériques…

La santé globale, c’est la saine alimentation, c’est rire, bouger, aller dehors, avoir un sommeil réparateur. Une vie saine provient de la connaissance des bienfaits des huiles essentielles, des plantes amères et des probiotiques ainsi que de la respiration purificatrice (yoga, méditation). Il faut aussi prendre le temps de regarder à l’intérieur de nous afin de développer notre intuition et notre responsabilité à l’égard de notre santé, de notre vie et de notre mission.

Des pensées en santé

Nous sommes tous semblables, humains et humaines : nous avons dans la tête un poste de radio qui nous envahit du matin au soir de pensées non sollicitées. On dit que la plupart des gens reçoivent 50 000 pensées par jour. De surcroît, une étude démontre que 98 % de ces pensées ont déjà été diffusées et que 80 % s’avèrent négatives. Quelle confusion cela crée dans notre pauvre tête! On sait bien que ces pensées insidieuses peuvent miner l’estime de soi et biaiser notre façon de percevoir l’autre et le monde. Comme personne n’a encore trouvé le bouton magique pour éteindre ce constant bavardage intérieur, regardons ce que nous pouvons faire pour retrouver la capacité de penser sainement.

Cette métaphore de radio nous rappelle qu’heureusement, nous ne sommes pas nos pensées et qu’avec un peu de patience, nous avons au moins le pouvoir de baisser le volume ou de changer la fréquence. Veillons d’abord à ne pas nourrir notre imaginaire de négativité en faisons attention aux lectures et aux images auxquelles nous nous exposons : livres, articles, média sociaux, journaux, publicités, films, musiques, vidéos, etc. Nous devenons facilement ce que nous consommons. De même, les conversations qui jugent, critiquent et disqualifient nous restent dans la tête et nous éloignent de notre humanité bienveillante, alors qu’il y a tant de lectures et de musiques pour élever notre humeur et réveiller notre joie de vivre.

Une pensée est un nuage qui passe dans le ciel de notre conscience. Si on ne lui accorde pas d’attention, elle passera son chemin sans nous perturber. Mais certaines pensées souvent récurrentes viennent se coller à notre identité. Elles arrivent à adhérer parce qu’elles correspondent à une façon conditionnée de penser le monde que nous avons empruntée à un moment de notre vie afin de survivre et d’assurer notre sécurité.

Que se passe-t-il ensuite? La pensée négative va se joindre à une sensation corporelle pour créer une émotion. Comme le suggère l’étymologie du mot, une émotion est une énergie en mouvement. On peut tout de même admirer ce réseau cohérent du « ressenti » de notre corps qui est là pour nous informer de nos besoins et nous guider dans nos décisions. Ainsi, la sensation de bien-être et de plaisir est simplement le corps qui dit oui, alors que l’inverse est signe que la pensée nous éloigne de notre vérité. Notre mal-être intérieur pro­vient souvent du fait que nous croyons à des pensées qui sont fausses. On peut ainsi commencer à douter des affirmations qui se répètent dans notre tête, à jouer à en démasquer la fausseté et à examiner avec intérêt la conclusion sur la réalité qui les a fait naître.

Tout cela devient de plus en plus facile avec la pratique de la méditation au quotidien. Lorsqu’on médite,­ l’immobilité du corps invite l’im­mobilité du mental. C’est comme prendre un bain de douce présence dans cet espace lumineux de silence qui est ce que nous sommes avant que l’on pense. Des pensées vont bien sûr nous emporter loin du présent; alors, avec amour, on se ramène ici et maintenant. Peu à peu, les pensées vont perdre leur capacité de nous éloigner de nous-mêmes. Peu à peu, le mental hyperactif, reconnaissant ses limites, va commencer à se taire et s’incliner devant la présence silencieuse et sacrée de notre Être. Et alors, nous retrouverons notre légèreté et notre réelle capacité de réfléchir en nous servant de notre magnifique faculté de penser.

La médecine vibratoire

Merci à Pacific Essences pour l’autorisation de publication.

Qu’est qu’une Essence?

Historique :

Pacific Essences® a été fondé en 1983 pour explorer le potentiel curatif des plantes sauvages de la côte ouest du continent américain. En 1985, nous avons introduit les essences de la mer – une première mondiale et une première dans la pharmacopée de la médecine vibratoire.

Pacific Essences® sont des remèdes vibratoires fait à base de plantes, d’organismes marins et de minéraux. Les essences retiennent la subtile empreinte de leur source qui permet d’agir sur notre système énergétique pour le maintien de l’équilibre de notre vie. Elles peuvent avoir un effet sur tous les plans : physique, émotionnel, mental, et spirituel. Elles facilitent l’harmonie et l’équilibre.

Une essence, par définition et par sa nature, contient la valeur intrinsèque de quelque chose. C’est donc dans son être sa façon d’être reconnu comme individuel et unique dans l’univers. On peut aussi l’appeler vibration. Tout élément physique en a une ainsi qu’une structure et une apparence physique. L’organisme humain lui aussi manifeste une vibration qui sera différente en temps de stress qu’en état de décontraction.

En état de mal-être, notre vibration est affectée de manière significative. Les essences restaurent l’harmonie dans notre mode vibratoire et sont donc un outil précieux pour ceux qui se sentent impliqués dans la guérison et la transformation de soi. Ces essences fonctionnent sur nos facultés conscientes et inconscientes et permettent des réponses individuelles à chaque situation.

Les bénéfices que nous retirons en utilisant les essences sont à la fois mentaux, émotionnels, spirituels et physiques. Dr. Edward Bach, un homé­opathe et physicien britanni­que, a été le premier à introduire les remèdes des fleurs dans la médecine occidentale. Il a découvert que nos modes mentaux et émotionnels qui accompagnent une maladie physique sont des indicateurs importants pour les causes sous-jacentes de cette maladie, et qu’en adressant ces problèmes grâce aux essences de fleur il pouvait avoir un effet positif sur la guérison. Il en est venu à croire que la cristallisation des modes mentaux et émotionnels étaient la première phase d’autre forme de manifestation d’une maladie, d’un mal-être.

Une essence est l’empreinte énergétique de la force vitale d’une plante, d’un organisme marin, d’une gemme ou d’un minéral. La substance porteuse est l’eau, le solvant universel, qui est combinée en proportion adéquate à du brandy agissant comme préservatif.

Bien que toutes les essences tendent à toutes se ressembler et à avoir le même goût, elles ont toutes des moyens différents d’interagir avec le corps, le mental, les émotions et l’esprit humain.

La thérapie par les essences est basée sur deux principes :

1. Le corps humain a une habilité naturelle à se guérir par lui-même.
2. Les essences peuvent activer se processus naturel.

Le vrai bénéfice de l’utilisation des essences est de soutenir le processus de développement personnel dans le processus de réalisation de soi et de complétude. En harmonisant en douceur notre mental, nos émotions, notre physique et notre esprit, de nouvelles façons de répondre aux défis de la vie sont maintenant disponibles.

Une essence ne peut pas faire de mal. Si une énergie n’est pas nécessaire, nous ne pouvons pas l’absorber. En devenant de plus en plus conscient de notre individualité et de son mode de fonctionnement, il devient facile de choisir un remède pour une situation particulière, basé seulement sur une des corré­lations disponibles sur ce site. Il est aussi possible de choisir un remède intuitivement, ou avec un pendule, or encore grâce à d’autres méthodes sensorielles. Dans certaines circonstances, un remède nous vient à l’esprit et donne une confirmation de plus à la cause d’un problème sous-jacent.

Les essences sont des outils puissants dans le domaine de la médecine complémentaire. Elles peuvent être utilisées par tout un chacun ou par des praticiens pour promouvoir la guérison de la personne dans son entier.