Rechercher
Close this search box.

Quel type de câlineur êtes-vous?

Chaque câlin est l’occasion parfaite de créer un monde meilleur.

Académique – vous observez les échanges de câlins, étudiez leurs effets et donnez des conférences sur leurs bienfaits, mais vous ne vous aventurez jamais à partager un câlin avec quiconque.

Altruiste – vous détestez les embrassades, vous en donnez seulement parce que ça fait plaisir aux autres.

Avant-gardiste – vous avez étreint tant de gens que maintenant vous créez de nouvelles formes de câlins afin d’être à la fine pointe.

Borné – vous refusez résolument d’admettre que vous avez besoin d’une étreinte ou que vous en désirez une jusqu’à ce que vous en partagiez une, puis vous fondez en larmes.

Branché – ([) ¦ :** (()) ((((un câlin S.V.P.)))<;D()

Colleux – avec votre pyjama et votre ourson en peluche, vous êtes toujours prêt pour une soirée câlins, collades et contes.

Compulsif – si vous ne pouvez trouver un arbre à embrasser, une boîte aux lettres fera certainement l’affaire.

Cool – vous insufflez style et candeur à vos câlins.

Dépendant – lorsque vous tenez une personne dans vos bras, vous ne voulez plus la laisser partir.

Discordant – rien ne peut rimer ou être synchronisé avec votre style d’affection.

Dynamique – énergétique et émotif, on ne peut se détourner de vos câlins.

Élégant – gracieux et élancé, vous vous glissez dans une étreinte et en ressortez infroissable.

Émotif – vous fondez en larmes au premier effleurement.

Formel – calculé pour un maximum d’effet et un minimum d’engagement.

Furieux – oui, il existe en ce monde des câlineurs furieux qui aiment haïr l’amour! Mais la tragédie est qu’ils ne peuvent pas s’en passer!

Grogneur – vous grognez et vous vous plaignez du fait que vous ne recevez jamais de câlins, mais seulement quand vous en recevez un.

Guérisseur – votre intention aimante guérit tout et tous ceux que vous touchez.

Hâtif – vous étreignez parce qu’il le faut. Allez, qu’on en finisse!

Indécis – vous en voulez un, non, vous n’en voulez pas, peut-être un petit, ou peut-être un peu plus tard, ou…

Indifférent – étreindre ou ne pas étreindre?… peu importe.

Intime – seulement avec des chandelles, du chocolat fondant et nu comme un ver.

Jaloux – vous faites une crise lorsque votre partenaire serre quelqu’un d’autre dans ses bras, même si c’est sa mère!

Kamikaze – vous plongez dans chaque étreinte comme si c’était la dernière.

Langoureux – vos câlins durent et perdurent… ils pourraient aussi bien être des collades puisque vous ne serez pas le premier à lâcher prise!

Maître – vous avez étreint tellement de gens que votre technique de câlinage est devenue une forme d’art.

Multitâches – vous étreignez quelqu’un, parlez au téléphone, mangez, conduisez et tentez de faire tout cela MAINTENANT!!!

Névrosé – oui, les câlins peuvent être thérapeutiques, mais nous ne sommes toutefois pas votre psychologue!

Organisé – réglé comme une horloge, vous étreignez les mêmes personnes, à la même heure et au même endroit.

Osé – un câlin est amusant seulement quand un de vous est lié et a les yeux bandés.

Particulier – on n’étreint pas n’importe où, ni n’importe comment et surtout pas n’importe qui.

Questionneur – tu veux me donner une accolade? Pourquoi? Tu en es certain? Tu n’es pas grippé, au moins?

Ricaneur – vous ne pouvez vous empêcher de ricaner lorsque quelqu’un vous embrasse.

Romantique – chaque personne qui vous étreint pourrait être votre âme sœur!

Sexuel – juste à penser étreinte, vous êtes tout excité.

Serviable – vous aimez tellement faire plaisir aux autres que vous êtes heureux de vous soumettre à toute demande de câlin.

Superficiel – non engagé, mais amical, avec peut-être une petite tape dans le dos pour la postérité.

Timide – vous tournez au rouge et devenez évasif avant chaque câlin.

Utopiste – chaque câlin est l’occasion parfaite de créer un monde meilleur.

Voyant – vous n’avez qu’à imaginer que quelqu’un vous serre dans ses bras, et il apparaît.

Wagnérien – vos étreintes prennent les dimensions d’un opéra tragique!

Xtatique – eh man! Ce câlin était style genre WOW! Oui, juste ben cool! Je veux que tu me donnes des câlins pour le reste de ma vie!

Yogi – vos câlins sont entiers, souples et en équilibre, mais vous devez d’abord vous étirer.

Zélé – votre passion des câlins est telle que vous avez même écrit un livre à ce sujet.

Extrait du livre « Embrasser la vie – Un guide pratique sur l’art de câliner », Martin Neufeld – Monsieur Câlin – Les éditions Embrasser la vie, 2008.

Beauté désespérée ou désirée?

Être désirable, être désirée… réveiller Éros, mais sans trop faire de bruit, car il peut être dangereux d’être belle et attirante!  Les lois biologiques animales, les principes freudiens ou les histoires anciennes qui sommeillent dans le cœur et dans le sexe des femmes, font d’elles des beautés désespérées.  Comment ouvrir en douceur les ailes du désir?

Elle est belle, attirante, envoûtante et presque dangereuse.  Tous les yeux de l’assistance descendent sur ses longues jambes de Barbie, remontent à sa taille de guêpe après avoir fait une pause sur ses fesses parfaites.  Ses longs cheveux de jais encadrent ses lèvres rouges qui rappellent la turgescence du sexe d’une femme qui veut faire l’amour.  Elle a maquillé ses yeux d’un noir désir pour que l’éclat de sa pupille s’accroche à un cœur de passage.  Elle laisse l’empreinte enivrante d’un parfum obsédant que chacun pourra ramener dans sa mémoire et ranger dans sa boîte de fantasmes.  Une beauté désespérée vient de traverser la salle.

Séduire veut dire « conduire à soi »

Une beauté désespérée couche ses envies interdites sur des aventures impossibles dans le désespoir inconscient de mourir.  La femme séductrice a envie de dire« oui » avec son corps, mais son inconscient bardé d’interdits lui faire dire « non ».  Pour résoudre ce double message, elle invente la femme fatale.  Celle dont la force du désir poussé à l’extrême conduit au refus.

Au bras de Marilyn, séduire se conjugue avec suicide, car comme dans la forêt, une femelle qui émet tant de signes colorés et odorants serait une proie facile.  Elle ne survivrait pas longtemps aux regards des prédateurs et serait la risée de toutes ses copines qui, prudentes, regardent les mâles roucouler ou parader dans leurs belles voitures.  À eux de prendre des risques pour séduire.  Dans la forêt humaine, Marilyn n’a pas réussi à réconcilier Aphrodite et Freud.  Les pulsions charnelles de la Déesse olympienne n’ont pas convaincu les démons de l’inconscient.

Le spectre de la mort rôde

La femme séductrice est suicidaire : elle se jette dans le cœur de l’autre pour y mourir de ne pas avoir le droit de vivres ses envies.  Si elle croit qu’elle n’a pas été désirée par ses parents, elle respecte toute sa vie ce programme de ne pas être désirable.  Pour elle, c’est le non-désir qui rime avec la vie.  Aussi, chaque fois qu’elle manifeste une envie, le spectre de la mort rôde autour d’elle et vient tuer ses phéromones.  Être indésirable est la seule solution de survie.

Parfois, elle prend une assurance-vie qu’elle appelle « mari » qui lui permet de sortir tous ses atouts de séduction sans prendre le risque d’être mangée.  Elle peut alors essaimer son désir pour le plus grand plaisir de son homme qui roucoule d’avoir si belle femme.  D’autres, que le besoin d’amour immense a jeté sur les trottoirs de l’indécence ont une « assurance-survie » qu’on appelle « maquereau ».  Elles meurent à petit feu, d’être exposées ainsi comme des proies dans la jungle du cœur des hommes.

Est-il donc si dangereux d’être désirable?

Quand la psychologie expliqua à la petite fille qu’il était normal qu’elle ait du désir pour son père, il aurait fallu rappeler à celui-ci la nécessité de gérer ce désir incestueux.  Le cours 101 sur Œdipe aurait dû être obligatoire.  Lorsqu’elle arrive à l’adolescence, avec l’espoir encore vivant de croire que son père sera l’homme de sa vie, la jeune fille confond désir et impossible.  Car le père effrayé par les formes séduisantes de la puberté, arrête tout à coup les câlins et compliments doux.  Certaines s’enlaidiront comme peau d’âne pour ne pas risque de séduire.  D’autres à l’inverse se maquilleront à outrance et se feront traitées de putain par un père jaloux, incapable de lui tendre la main.

Elle aimerait tellement comprendre qu’il est sain d’être désirable et qu’il appartient à l’autre, de gérer ses pulsions.  Tous les hommes ne sont pas « heureux comme Ulysse » qui ose entendre le chant des sirènes et transcender cet appel charnel.  Les sociétés où l’homme craint son désir, pour des raisons religieuses ou culturelles, enferment la beauté des femmes dans les voiles de l’ignorance, croyant que le désir est une étincelle que l’on étouffe avec la haine et le mépris.

Le désir d’une femme est une luciole

Le désir d’une femme est une luciole qui produit elle-même sa propre lumière.

Filet doré entre son cœur et son sexe, il engendre une pluie d’étoiles filantes dans son esprit et permet à Dieu de pénétrer son âme.  C’est d’ailleurs ce qui la rend séduisante et éternelle.  La beauté vient de l’intérieur et laisse le désir s’échapper dans l’éclat d’une pupille, dans l’érection d’un mamelon ou dans la chaleur humide d’un vagin.  La valse des hormones du désir fait tourner la tête de chaque cellule qui, dans un doux soupir, sourit de pouvoir ainsi s’abandonner sans danger.

La femme qui a reconnu sa peur d’être désirable, peut en conscience la dépasser pour laisser émerger sa sexualité sacrée.  Elle fait la paix avec peau d’âne, avec Marilyn et Aphrodite.  Elle a de la compassion pour ce vieil Œdipe et pardonne même à Abraham son manque de courage.  Quand le feu de la rancœur s’éteint dans son corps, il cesse de brûler les phéromones de ses désirs.  Des volutes sensuelles imprègnent ses ailes de femme divine et le vent qui se fait complice inonde son aura de mille délices.

En se promenant au bras de Sarah, une des trois matriarches de la bible, on sent les regards suivre en silence cette femme d’une grande beauté.  Abraham son époux en est tout gêné, surtout lorsqu’ils quittent le village et voyagent dans des contrées où des étrangers pourraient le jalouser.  Alors, Abraham présente sa femme comme sa sœur, pour la protéger dit-il.  En fait, avoir une femme désirable peut le mettre en danger.  Car on pourrait le tuer pour la lui ravir.  Par contre, si quelqu’un touche à sa « sœur », il pourra toujours jouer l’offusqué et l’accuser.  On inventa le mensonge pour sauver le mari.  Un mensonge doué de raison pour excuser la couardise d’une passion.

Douceur et lenteur cocooning pour l’âme

Comme après un long voyage, il est important de nous déposer et de nous reposer pour nous ressourcer et nous recentrer. En tant qu’Êtres divins incarnés, nous pouvons choisir de voir chaque journée comme un voyage.­ Chaque moment présent est une expérience pour notre être sur tous les plans : physique, émotionnel, mental, énergétique et spirituel.

Que l’expérience soit perçue comme bonne ou mauvaise, elle nous fait vivre une vaste gamme de sensations et d’émotions. Pour notre âme, l’expérience est tout simplement et totalement expérience.

La partie de nous qui a besoin de comprendre, de rationnaliser, de contrôler et d’identifier est notre mental. Nous n’avons pas appris à le contrôler ni à choisir les pensées qu’il crée. Il est souvent très critique et peut provoquer des réactions dans notre corps physique. En pleine cons­cience, nous avons la possibilité de reprendre le contrôle de cette partie de notre être à chaque instant, en choisissant d’y ajouter de la douceur.

Choisir d’amener de la douceur dans notre mental en y ajoutant des pensées douces envers nous mêmes et d’en amener aussi dans notre façon de penser, de voir, d’entendre, d’accueillir, de donner, de communiquer, de partager. La douceur fera s’ouvrir notre cœur.

Au début, notre mental aura peut-être besoin de repères extérieurs :

Par exemple, écrire le mot douceur pour l’avoir sous les yeux à la maison, au travail et dans la voiture ou encore réciter ou chanter le mot douceur comme un doux mantra aura une influence bénéfique sur plusieurs plans.

En centrant notre attention sur la douceur, les autres pensées perdront de leur importance et de leur influence. Au début, cela peut avoir l’air d’une discipline, mais avec un peu de pratique, centrer notre attention sur la douceur deviendra une habitude simple et facile.

Choisir de faire preuve de douceur envers notre corps physique, ce temple sacré de notre âme, sous la forme de l’écoute et du respect de ses limites et besoins. De la douceur pour tous nos sens : les massages, les câlins, le rire, un sourire, de la musique qui nous transporte et nous fait vibrer, le chant des oiseaux, les parfums qui stimulent notre odorat, les aliments à savourer, les activités qui nous font plaisir, le repos dans notre chaise préférée, la contemplation de la beauté qui nous entoure, être en pleine conscience du vent sur notre peau lors d’une marche dans la nature. En fait, tout ce qui peut nous faire plaisir et nous faire vibrer est de la douceur qu’on s’offre à chaque instant.

Et être en pleine conscience ici, maintenant et en soi nous met en contact intime avec tout notre Être jusqu’à notre âme et transforme notre vision de l’expérience; elle devient encore plus complète, intéressante et sacrée.

Inspirer consciemment la douceur de l’air est essentiel pour s’habiter pleinement et est sans doute l’outil de méditation et de maîtrise de soi le plus simple et le plus puissant.

Et ralentir, ne serait-ce que quelques minutes à la fois, nous permet de mieux voir, de mieux entendre, d’être simplement et totalement présent à soi et à ce qui nous entoure. Pour savourer la beauté et la contempler pendant quelques minutes avec conscience et gratitude. En reconnaissant que tout est divin, amour et sacré. Tout. Même nous.

Douceur en votre être.

Est-ce que l’être humain a besoin de câlins?

Dans nos rues, il y a de plus en plus de personnes qui offrent des câlins à qui le veut bien. Ceux-là sont gratuits, mais en France, on peut maintenant payer un spécialiste pour se faire câliner. Imaginez-vous cela : on s’allonge tout habillé avec la professionnelle dans une position que l’on a choisie pour une durée déterminée, et une caméra vidéo nous filme pour notre sécurité. C’est quand même un phénomène étonnant! Nous comprenons alors que notre société dite civilisée souffre probablement d’un grand manque affectif.

Avec la possibilité de se faire d’innombrables « amis » sur Facebook et autres médias sociaux, on se donne l’illusion d’avoir des relations. Pendant que nos échanges réels se raréfient, nous perdons peu à peu les clés du lien humain. Ajoutons à ce fait que la vie va de plus en plus vite et que grandit le nombre de person­nes qui vivent seules. La question se pose alors : nous, les humains, avons-nous un réel besoin d’être tenus dans les bras de l’autre, d’être touchés et même caressés?

Bien sûr que oui! Toutes les recherches sur le sujet le prouvent : une personne qui n’est pas touchée commence à dépérir. Nous avons un besoin essentiel et vital de contact physique, comme tous les mammifères d’ailleurs! Faut-il s’en étonner? Comme les chats, nous aimons être flattés avec affection; comme les chiens, nous aimons nous lover les uns contre les autres. De célèbres expériences sur des bébés singes ont démontré que les petits préfèrent une maman douce et câline à une maman de fer et nourricière. Le bébé humain a besoin lui aussi de chaleureuses caresses. Dans son livre La peau et le toucher, Ashley Montagu explique que nos nouveau-nés naissent à ce point inachevés et vulnérables qu’ils bénéficieraient, selon lui, d’une deuxième période de gestation à l’extérieur de l’utérus pendant toute leur première année de vie. Il croit que nos bébés seraient en fait bien servis par une poche douce et chaude comme celle où grandit un petit kangourou. Cette réflexion nous rappelle la vulnérabilité du nouveau-né et la grande sensibi­lité de la peau à son environnement. Saviez-vous que la peau, cet abri de l’intime unité de l’être nous séparant du monde et nous y reliant tout à la fois porte dans l’étendue de ses pores des secrets inestimables? Dans un diamètre équivalent à celui d’une pièce de 25 cents, on compte 3 millions de cellules et quelques 640 000 récepteurs sensoriels! La peau expose ainsi au monde tout notre système nerveux.

Que se passe-t-il donc lors d’une étreinte? À prime abord, tout a l’air assez tranquille… mais ce qui se passe tient du miracle. Dès que deux personnes entrent en contact avec affection, tout un système d’adapta­tion se met en branle. Les cœurs vibrent dans une danse mystérieuse. Les personnes sont célébrées dans leur identité. Et lorsque le contact persiste pendant une trentaine de secondes, débute la sécrétion d’ocytocine, cette merveilleuse hormone surnommée l’hormone du bonheur. Comment alors faire la guerre à celui que l’on a tenu contre son cœur?

Maintenant, voici la bonne nouvelle : il n’est jamais trop tard pour créer dans son quotidien des espaces de tendresse et de soin. Notre société se trouve dans l’urgence d’une rééducation affective. L’art du toucher attend notre retour pour nous transporter dans ce merveilleux tissu de vie qu’est la peau et nous redonner notre pleine humanité. Il est là, disponible, juste au bout de nos doigts, tout au creux de nos mains de cœur. Embras­ser quelqu’un, c’est comme lui dire en silence : merci d’exister!

Quel cadeau!

Le mouvement mondial « FREE HUGS » c’est quoi?

Une personne propose spontanément des câlins gratuits aux gens dans un lieu public. Cette personne est munie d’une pancarte sur laquelle il est écrit « Free Hugs » ou « Câlins gratuits ».

L’origine du mouvement FREE HUGS

« Vous souvenez-vous de l’homme qui avait lancé les câlins gratuits (en anglais Free Hugs)? L’idée lui est venue quand il a perdu sa mère. En rentrant à Sydney, il voyait des gens émus qui se serraient très fort, alors que lui, personne ne l’attendait à l’aéroport. C’est à ce moment qu’il a décidé de prendre un carton, un crayon-feutre et d’écrire « Free Hugs » pour que lui et tous ceux qui n’avaient pas accès à des câlins sur son chemin passent une meilleure journée… Au cours de cette aventure, il a donné des câlins, il a eu des problèmes légaux, a fait signer une pétition, a recueilli 10 000 signatures et a continué jusqu’à ce que le mouvement se propage à travers le monde. »

Source : Anne Costisella, Les bienfaits des câlins, 20 janvier 2014,  www.mamanpourlavie.com

VIDÉO À REGARDER ABSOLUMENT!!! Free Hugs in Sondrio, Italy vidéo. La musique de fond est la chanson Hallelujah de Leonard Cohen, interprétée magnifiquement par la chanteuse Alexandra Burke. CONDITION : À regarder en plein écran pour que l’infinie tendresse qui se dégage de la vidéo emplisse la pièce.

Un couple enlacé depuis 6 000 ans!

En février 2007, dans le nord de l’Italie, des archéologues ont découvert deux squelettes enlacés dont l’étreinte remonterait à 6 000 ans.

Les deux squelettes se font face, et leurs fronts se touchent presque, leurs bras et leurs jambes sont emmêlés dans une ultime étreinte.

Le 21 janvier, laissons tomber les barrières et ouvrons nos bras!

C’est l’occasion de serrer dans nos bras des personnes que l’on apprécie, mais à qui on ne le dit peut-être pas assez souvent (famille, voisins, amis, collègues…). Les câlins ont des vertus médicales attestées, et les psychologues leur attribuent des propriétés miraculeuses.

Profitons-en!

« Nous avons besoin de 4 câlins par jour pour survivre.
Nous avons besoin de 8 câlins par jour pour l’entretien.
Nous avons besoin de 12 câlins par jour pour croître. »
~ (Virginia Satir, psychothérapeute américaine)