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Ma recherche « intérieure »

« Chacun d’entre nous est porteur d’une dualité et se débat, de façon constante, entre : l’être et l’analyste. L’être en nous n’a pas de contrôle sur les traces d’expériences de vie heureuses ou malheureuses imprégnées dans son inconscient.

Donc, les choses qui nous émerveillent viennent nous « chercher » et nous toucher au même endroit que celles qui nous blessent, tant l’ébahissement provoqué par une image ou une parole heureuse que la tristesse éveillée par une image ou une parole malheureuse qui nous prend par surprise. Ces émotions sont sollicitées par des expériences que notre inconscient a gravé à notre insu dans notre mémoire.

Et dans les deux cas, cette « surprise » nous laisse sans défenses, car elle fait fi de l’analyse que nous nous évertuons habituellement à faire de toute chose, de tout sentiment.

L’analyste en nous a peur de perdre le contrôle. Mais le contrôle est-il garant d’expériences de joie ou, au contraire, n’est-il pas le facteur principal de leur annihilation? Et, non négligeable, l’effort pour préserver ce contrôle ne vient-il pas plutôt nous priver alors de moments de bonheur profond que seul l’exercice du lâcher prise peut libérer? Car en plus de nous soulager d’aucune façon, l’analyse et le contrôle, étant donné le peu de joies qu’ils procurent, font de nous des prisonniers de la vie, d’éternels insatisfaits, nous qui, paradoxalement, sommes en quête perpétuelle d’expériences s’approchant de l’illumination que seul peut atteindre un être dégagé de toute l’analyse qu’il fait des choses auxquelles, à tort, il s’identifie. »

Les découvertes de Louise

Bonjour à tous!

C’est encore tout imbibée d’émerveillement, suite à la découverte d’un lieu magique ici même dans la région que je prends plaisir à vous faire connaître cet emplacement.

Pour bien vous évoquer l’atmosphère… une impression de bout du monde, le sentiment de découvrir la pureté des premiers âges, car on y retrouve une colonie, un peuple, qui émerge de l’eau, rassemblé à cet endroit comme pour s’y purifier ou faire des incantations sacrées au coucher/lever de soleil. Cette réalisation est l’œuvre de John Félice Ceprano. Le soir de ma première visite, c’est sous un ciel balayé par les nuances du coucher de soleil qui passaient du rose/orange au violet, miroitant sur l’eau d’un bleu turquoise, que je vis la silhouette de ces personnages évanescents.

Un véritable coup de cœur qui ne s’effacera jamais de ma mémoire. Et pour couronner le tout, des effets sonores venaient se rajouter à ce paysage d’une majestueuse beauté! Des voiliers d’outardes me passaient au-dessus de la tête et cela en si grand nombre que j’entendais le vrombissement de l’air qui se déplaçait aux battements de leurs ailes. Elles allaient se poser sur l’eau pour y passer la nuit, alors que les canards volaient en traversant leur trajectoire. Un véritable sanctuaire! Quel magnifique spectacle!

À l’horizon se découpait le profil d’une civilisation illuminée, nous rappelant qu’il existe des îlots de sérénité à deux pas de nos jungles de béton. En plus de vous décrire mon impression du lieu, je jugeais important de connaître la source motivatrice qui a donné naissance à cet endroit, réalisé de toutes pièces par cet artiste/sculpteur. Nous nous sommes donc rencontrés sur les lieux mêmes. Son inspiration première fut de rendre hommage aux peuples autochtones ainsi que de faire une révérence à Mère Nature pour son abondance et sa générosité. Il m’a aussi expliqué la symbolique de cette mise en scène minérale qu’il aimerait un jour interpréter dans une œuvre cinématographique.

Il s’agit donc de trois jardins aquatiques zen. Le premier sur la gauche représente les peuples autochtones, celui du centre, la découverte des Amériques par Christophe Colomb et la période de colonisation et, en arrière-plan la réalisation de la civilisation nord-américaine.

Les pierres sont cueillies sur place, les assemblages sont fusionnés avec une colle époxy. On croirait facilement que le tout s’est formé naturellement avec le temps et l’érosion.

Ai-je piqué votre curiosité? Si oui, pour vous y rendre, vous n’avez qu’à prendre la Promenade des Outaouais Ouest, ensuite la sortie « Remmic Rapids ». Je me devais de vous faire connaître ce lieu de ressourcement. Nous sommes réellement privilégiés d’habiter une région qui nous offre en si grand nombre de tels endroits.

10 bienfaits de l’artisanat

Non seulement l’artisanat se veut divertissant, mais la science a prouvé qu’il est bon pour la santé. En faisant régulièrement des travaux manuels, vous pourrez surmonter certains problèmes, comme la dépression, l’anxiété ou l’hypertension artérielle. Mais quels sont donc les bienfaits de l’artisanat?

  • Méditation
    La méditation est basée sur des mouvements, des postures ou la respiration. En faisant du tricot, du crochet ou en cuisinant, vous suivez un flux rythmé de mouvements qui vous aide à sortir de l’agitation de la vie quotidienne. Après une séance de travaux manuels, vous vous sentirez plus détendu.
    • Stimulation du mental
      Dans le processus de fabrication, vous construisez non seulement de belles choses, mais, du coup, vous entraînez votre cerveau. L’habileté et la coordination sont des exercices très bénéfiques pour le cerveau. Ils peuvent même aider à réduire de moitié les troubles cognitifs.
      • Amélioration de la concentration
        Quand vous travaillez à un projet, vous devez vous concentrer pleinement pour obtenir le résultat souhaité. Sachant qu’une seule erreur pourrait vous obliger à tout recommencer, vous concentrez toute votre attention sur votre ouvrage. À long terme, cela améliore votre capacité à vous concentrer.
    • Sentiment d’accomplissement
      Vous ressentirez tous les bienfaits de l’artisanat cités précédemment pendant que vous serez à l’ouvrage. Une fois que vous aurez terminé et que vous aurez votre produit final devant vous, vous aurez un sentiment d’accomplissement inégalé. La fierté ressentie à ce moment aide à construire l’estime de soi.
    • Nouvelles connaissances
      Rien de tel que la connexion soci­ale pour vous rendre plus heureux. Les activités en groupe vous permet­tront de rencontrer de nouvelles personnes toutes aussi créatives les unes que les autres. Ainsi, ces rencontres créeront de nouvelles occasions d’apprentissage où vous pourrez, à votre tour, enseigner ce que vous savez. Vous vous sentirez alors apprécié.
    • Patience et persévérance
      À vos débuts, vous ferez sans doute quelques erreurs les premières fois. Même si elles peuvent vous frustrer, elles vous enseignent la patience et la persévérance. L’artisanat vous donne une leçon de vie très importante : ne pas abandonner.
    • Amélioration de la mémoire
      Les travaux d’artisanat vous aident à apprendre de vos erreurs. Si vous ne vous y prenez pas de la bonne manière la première fois, vous vous souviendrez de ne plus refaire la même erreur. Votre mémoire s’en trouve donc enrichie.
    • Réduction de l’hypertension artérielle
      Après une longue journée stressante, vous pouvez vaquer à votre activité préférée. Dès que vous commencerez à faire du crochet, de la couture, du tricot ou d’autres travaux manuels, vous vous sentirez automatiquement plus calme et détendu. Votre cœur ne s’en portera que mieux.
    • Découverte de soi
      En acceptant le défi de vous mettre à la couture, par exemple, vous vous donnez l’occasion de savoir de quoi vous êtes capable. En effet, le seul moyen de connaître vos capacités est d’essayer, de vous surpasser pour atteindre votre objectif. C’est pourquoi les travaux manuels nous aident à mieux nous connaître.
  • Meilleure personne
    L’artisanat vous apporte du bonheur, stimule votre créativité et donne un sens à votre vie. Et puisque vous êtes heureux, détendu et que vous vous sentez bien lorsque vous créez, vous devenez plus généreux et plus gentil avec les autres.

Maintenant que vous savez que l’artisanat ne peut que vous faire du bien, vous pouvez vous lancer. Peu importe la raison qui vous motive au début, vous découvrirez bien assez tôt les nombreux bienfaits des travaux manuels.

Votre corps vous parle

Le corps reflète ce qui se passe à l’intérieur de soi. Comme la plupart des gens en sont peu conscients, ils ne comprennent pas son langage.

Parmi les trois corps du plan matériel (mental, émotionnel, physique), le corps physique, de par sa nature tangible, est celui dont nous sommes le plus conscients et que nous pouvons entendre le plus facilement.

Une personne peut parfois mettre 50 ans à réaliser que sa façon de penser (corps mental) lui est néfaste. Et des mois, voire des années, sont nécessaires pour qu’elle se rende compte qu’une émotion encombre son corps émotionnel et finit par créer un blocage, une blessure physique qui alors ne passe pas inaperçue.

Il peut aussi arriver que nous nous blessions sans même nous en rendre compte. Par exemple, nous découvrons un hématome ou une égratignure dont nous ignorons la provenance.

Lorsque nous sommes conscients, nous nous rendons compte rapidement des gestes qui nous sont nuisibles. Nous pouvons alors agir autrement plutôt que de continuer à souffrir des conséquences de ces gestes. Je vous suggère donc fortement d’écouter votre corps physique pour conscientiser plus rapidement.

Vos malaises et maladies
Chaque fois que le corps physique a mal, il vous dit que vos corps émotionnel et mental ont mal.

Lorsque vous avez mal, il y a dysharmonie, c’est-à-dire que vos corps ne sont plus au service de votre être et tentent de diriger votre vie sans sa guidance, laquelle est nécessaire pour mener à bien cette tâche.

Lorsque votre être veut quelque chose, vos trois corps ont des fonctions distinctes :

• le corps mental utilise ses ressources pour manifester ce que vous voulez;
• le corps émotionnel désire et ressent ce que vous voulez;
• le corps physique peut faire les gestes en fonction de ce que vous voulez.

Voici deux exemples de dysharmonie :
• Une personne souhaite changer d’emploi. Elle s’empêche de le faire parce que son mental ramène une mémoire qui est en contradiction avec ce qu’elle souhaite à présent. Cette mémoire lui dit de ne pas avancer, car il pourrait lui arriver des imprévus ou des obstacles qu’elle pourrait regretter. Elle laisse la mémoire d’une expérience désagréable diriger sa vie au lieu de faire ce qu’elle souhaite réellement. Et voilà comment cette personne se retrouve avec un mal de jambes.
• Une mère de famille qui a la charge des enfants, de la maison et du budget désire plus de soutien. Elle s’empêche de demander de l’aide, car elle croit que ces responsabilités lui reviennent en tant que mère. Elle développe ainsi un mal de dos qui s’aggrave quand elle ose demander de l’aide et qu’on la lui refuse. Cela renforce sa croyance « je dois tout faire moi-même », et son fardeau s’alourdit. Cette mère n’a pas mal au dos parce qu’elle manque de soutien, mais bien parce qu’elle croit que, pour être une bonne personne, elle doit tout faire seule. C’est cette croyance qui a pour conséquence l’absence de soutien des autres. Il nous arrive toujours ce que nous croyons. Le corps a l’intelligence d’avoir mal dans la partie ayant un lien avec la pensée qui empêche un désir de se manifester.

Comme vous pouvez le constater dans ces deux exemples, vous pouvez devenir conscient beaucoup plus rapidement grâce à ce qui se passe dans votre corps physique.

Il existe également d’autres moyens de mieux vous connaître : la morphologie de votre corps, votre façon de marcher, de vous vêtir, de décorer votre maison, de conduire votre voiture, etc.

N’est-il pas merveilleux de constater à quel point votre corps peut devenir un ami de tous les jours?